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Super Tomate | Après quelques heures , il sortit de cette boîte , il dût se frotter les yeux vu que le soleil l'éblouissait après être resté trop longtemps dans le noir , il avait des crottes d'oeil d'après le langage d"aujourd'hui. Il se leva , s'étira pour se dégourdir les jambes comme si il avait oublié ou il était mais apres une dizaine de secondes et un éniéme étirement , une balle lui passe tellement proche de l'oreille qu'il en fit un sursaut et se coucha à terre
tel une limace qui tombe d'une feuille et viens laisser toute sa masse graisseuse s'écraser sur le sol . Son caporal le vit ainsi le chopa par les poils des fesses ( pour ne pas être impoli ) et lui donna un fusil entre les mains pour qu'il aille en 1ère ligne.....Sûrement suite à un sursaut d'orgueil , il ne refusa pas et y alla sans rechigner , ni traîner les pieds ce qui ne lui ressemblait pas lorsque le danger était proche de lui ce qui surpris aussi son caporal qu'il y aille sans s'aggriper à son pantalon ou sans cherche à convaincre un de ces compatriotes à y aller à sa place. Serais ce le début d'un nouvelle personne qui vient d'affirmer son caractère...? Après être arrive en première ligne en passant dans les tranchées qui semblaient former un labryrinthe sans fin , il mit le fusil que le caporal lui avait donné sur son épaule et tira une balle. Le choc fut tel qu'il tomba en arrière , il fut surpris par le recul , il en eut presque l'épaule déboîté...Cela n'était pas normal il allait au front, osait se battre , ce n'était pas normal lui qui était si froussard que c'était - il passé dans sa tête cette nuit là , de quoi a t - il bien pu rêver pour enfin avoir le courage de défendre les valeurs de son pays.....vous le serez peut etre dans le prochaine épisode ou peut etre jamais Face à eux , se trouvaient toujours les Scarabées de Scanabulitum , leur nombre ne faissait que croire , le ciel n'existait plus , on ne pouvait plus dinsguer s'i était bleu ou gris si le soleil était caché par les nuages ou non tellement le nombre de vaisseaux montgolfières étaient immenses . L'artillerie lourde telle les obus , les missiles anti avions , les bazooka ni faissait rien ces vaisseaux ne pouvaient être détruits pas une arme humaine sauf peut etre l'arme nucléaire mais un tel risque ne pouvait être pris par aucun chef d'état par peur de réduire la Terre en cendre.....Ces Scarabées de Scanabulitum étaient tels des monstres sanguinaires assoifés de chair frâiche humaine , ils ne voyaient que les hommes dont ils allaient se régaler aprs les avoir perforer avec leur corne identique à celle de rhinocéros peuplant la Terre mais tellement plus efficace et ravageur. Les balles ne pouvaient les atteindre ils avaient une carapace aussi durs que le quartz. Ces bêtes ne faissaient qu'avancer , ne reculaient jamais , jusqu'à finir par arriver à quelques kilomètres de la première ligne de front de notre personne...Vous aviez penser que c'était surement un rêve qui l'avait fait changer d'avis mais c'est tout simplement la vue de telles horreurs qui lui ont permis de prendre son courage à deux mains et d'aller enfin défendre son pays et rendre hommage à son pére qui s'était lui même battu pour lui . |
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Mr.MeRcOs | Je suis impressionné de votre talent
dommage: je ne vois que ce topic maintenait c'est trop tard aux qualifiés PS: Y'aura t-il d'autre challenge de ce genre ? |
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Little Nasty | Il entrouvrit les yeux quelques secondes et distingua à travers la brume des ombres éclairés par une torche enflammée qui semblaient se disputer vu la vivacité de leurs gestes et la sonorité de leur échange. Puis il s’évanouit à nouveau.
Lorsqu’il se réveilla le soleil était déjà haut dans le ciel. Encore étourdi il se releva et s’assit sur le banc non sans constater qu’un léger mal de tête le tenaillait. Il s’étira avec volupté avant de lancer un regard à la ronde pour observer le spectacle splendide qu’offrait la contemplation du lac à une heure encore si matinale. C’est alors qu’il se leva d’un bond. Mais qu’est ce qu’il foutait ici ? Il n’avait pas mis les pieds dans le bois depuis qu’il avait quitté la fac 20 ans auparavant, bien trop de mauvais souvenirs y étaient rattachés et plus que tout il ne souhaitait pas remuer le passé. Il fouilla sa mémoire et essaya de se souvenir comment il avait atterri ici mais sans succès. Il regarda sa montre et se rendit compte horrifié qu’il était déjà presque 8h, son premier cours débutant à 9h il lui restait peu de temps pour essayer d’éclaircir tout sa et surtout pour ré intégrer la fac sans que quiconque puisse voir qu’il arrivait d’ici si tôt le matin. Une fois sortit du bois il entreprit de descendre le chemin de pierre qui menait à la fac et qu’il avait surement emprunté la veille mais aucun souvenir ne lui revenait en mémoire. Arrivé à la porte il la poussa doucement et vérifia discrètement que personne ne se trouvait dans les parages. Soulagé de découvrir une entrée déserte, il s’empressa de rentrer dans la fac et de se rendre dans les vestiaires hommes pour se laver et se changer avant son premier cours. Contrairement à ses habitudes, il prit son café dans la salle des appariteurs puis à 9h tapante il était micro à la main en face de ses étudiants dans son amphi habituel. Dispenser son cours lui permis de remettre un peu de normalité dans cette journée qui avait débuté d’une façon pour le moins étrange. A la fin de l’heure il rassemblait ses fiches distraitement lorsqu’il fit tomber son stylo qui roula sous son pupitre. Il se baissa pour le ramasser lorsqu’il aperçu au même endroit ses clés de voiture. C’est alors qu’un flash s’imposa à lui et qu’il se revit la veille au soir les chercher sans succès devant la fac puis décider de venir fouiller ici. Il se releva chancelant sans se rendre compte qu’un étudiant caché par une colonne n’avait pas perdu une miette de la scène. Il sortit de l’amphi les yeux dans le vague. C’est alors que la fontaine attira son regard. Saisi d’une envie subite de l’examiner de plus près, il s’en approcha et commença à la scruter d’un œil aiguisé. Cependant il ne parvenait pas à justifier l’intérêt soudain qu’il portait à la construction. Il prit conscience au bout d’un moment qu’il ne savait absolument pas ce qu’il cherchait. Fatigué et soudain très las il s’apprêtait à faire demi tour quand une étudiante qui se trouvait non loin de lui poussa un petit cri perçant, elle venait de faire tomber un bracelet dans l’eau. A travers la baie vitrée, un rayon de soleil se refléta sur le minuscule objet le faisant ainsi briller. Le professeur eut alors pour la deuxième fois de la journée un flash qui cette fois lui remis en mémoire toute la scène de la veille. Il s’assit sur le bord de la fontaine et porta sa main à sa tête, ses doigts rencontrèrent une bosse. Abasourdi, il se leva et ne sachant quelle importance accordé à tout ceci, décida d’aller dormir un peu, il avait surement fabulé : un passage secret dans une fontaine, un réveil seul dans un bois, quelques heures de sommeil lui remettrait les idées en place et il se souviendrait alors qu’il avait trop bu hier soir. Trop absorbé dans ses pensées il ne remarqua pas le même étudiant qui l’observait dissimulé par la foule. Celui-ci avait l’air furieux, il quitta le bâtiment précipitamment et se dirigea vers les dortoirs au pas de course. A son réveil, ses idées étaient encore plus embrouillées néanmoins quelque chose était clair : il lui fallait à tout prix confirmer ou infirmer ses soupçons quant à cette fontaine avant de sombrer dans la folie en élaborant toutes sorte d’hypothèses plus invraisemblables les unes que les autres. Quelque peu rassuré par cette idée il décida de rentrer chez lui. A la tombée de la nuit, le professeur revint à l’université et y pénétra en se dirigeant cette fois ci directement vers la fontaine. Durant plusieurs heures il tenta par tous les moyens de faire pivoter la sculpture pour faire apparaître l’escalier de ses souvenirs mais en vain. La scène se répéta plusieurs soirs de suite sans succès. En fin de semaine, épuisé par la fatigue accumulée, il décida qu’il avait très probablement rêvé mais néanmoins il lui fallait une explication quand à son trou de mémoire de 12h il était temps de faire part de son histoire à un inspecteur de police. Tout en ouvrant son casier il se questionnait sur la façon de tourner la chose pour ne pas passer pour un fou quand il repéra une enveloppe qui ne ressemblait pas aux autres. Il l’ouvrit et lu son contenu. Il s’assit le teint livide. Le message était clair et concis : « oubliez cette fontaine et votre trou de mémoire ou certains événement de juin 1988 pourraient être révélés au grand jour…» et voilààà par contre désolé mais difficile de faire que mon personnage se sente bien dans ce lieu il venait quand meme de se prendre un coup sur la tronche |
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Mr Carl | tout qu'un écrivain ce phillis :eek: ..un gros ..et a nastygirl aussi .. et a tout en faite ..tres courageux et patient décrire comme sa !! | ||
Charas of Kulu | je ne sais si je fais bien mais vos textes sont éxtraordinaires quelle imagination ! quel phraser !
je reconnais que je n'aurais pu vous suivre sur ce coup là trop balaise encore et vivement le prochain concours Art Haché |
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Betyse | |||
philisdragonus | ..........................................................
Les "Morphalus" ne semblant pas s'intéresser à lui,notre étrange scientifique se demanda s'il pouvait s'installer dans cette grotte....un bref coup d'oeil à ce liquide vert bien étrange ne lui inspira pas spécialement confiance...il prit un de ces instruments de mesures embarqués avec lui...le plongea dans ce liquide et quelle surprise il eut en remontant son appareil!!!Celui-ci avait fondu!!!....Ce n'était pas vraiment des plus acceuillant comme lieu...Il voulu alors voir du cotés des "Fusturus" si ce canal par lequel ils jetaient tout ce qu'ils pouvaient y mettre était praticable,seulement,comment entrer dans ce canal si il est constament remplis de ce liquide vert pour le moins dangereux?Peu de solutions s'offraient à lui...il décida donc de repartir par le trou de réaprovisionnement...et voir si il n'y avait pas d'endroit plus acceuillant pour installer son camps de base... Il remonta dans sa capsule qui commençait à donner des signes de faiblesse face à ce liquide vert...Comment cette grotte pouvait résister à ça?Quelle drôle d'endroit...les hommes sont décidément bien surprenant...de terribles armes se cachent dans leurs entrailles...Néanmois il ne posa pas plus de question et remonta l'oesophage se disant qu'un endroit plus chaleureux l'attendait surement plus haut... Après de nombreux détours dans les méandres de ce corps humain il arriva en un lieu plus rassurant que les autres,car avant d'en arrivé là,il en a testé quelques uns d'endroit plus étrange les uns que les autres,comme cet endroit qui parraissait très acceuillant,propre,et souvent aéré,mais de temps en temps une étrange fumée envahissait les lieux et le faisait suffoquer,ou comme cet autre endroit qui avait l'air paisible aussi...mais le bruit incessant et l'arrivée du sang constante,lui provoquaient des maux de têtes à la longue... Il s'installa donc au niveau du cervelet...en dessous du bulbe rachidien plus exactement...un endroit paisible...pas de bruits,pas de mouvements brusques,pas de fumée...et surtout aucun de ces anti-corps bien étrange qui lui veulent tant de mal...où qu'il allait,il se faisait traquer,ceux-ci mordant sa capsule de voyage dés qu'ils le croisaient,le recherchant dans tout les sens afin de le supprimer.Ici,il était tranquille... Il commença donc à monter son camps...la technologie de ses semblables lui avait permis d'embarquer un matériel des plus incroyable...tout un laboratoire avait été compacté et rangé dans sa capsule,il n'avait plus qu'à le monter...ce qu'il fit de ce pas..celui-ci était spécialement bien enmenagé,un gros laboratoire avec tout le materiel nesseçaire à ses etudes,une piece de repos...sanitaires,et une salle de communication. Lors de son entretient avec ses superieurs,il leur avait annoncé les intentions hostiles de ces anti-corps,il n'etait pas rassuré,jamais il n'avait vu une telle agressivité;mais ses patrons n'ont eut que faire de ses gérémiades..."Poursuivez la mission!!!Point!!!"......ça fait plaisir de se sentir soutenu.Il s'attela donc à sa mission...Ses premieres excursions furent consacrées à la grotte mysterieure,premier lieu visité...il étudia aussi cet endroit trés ventilé qui l'intriguait beaucoup...puis ce fut au tour de la region sanglante et bruyante où le "boum boum" incessant l'empechait de se concentrer....mais tout se passa bien....Oui mais..c'etait trop beau pour etre vrai... Lors de sa premiere expedition vers ce qui semblait etre la reserve de liquide vert rencontré à la grotte,il se heurta à une veritable armée d'anti-corps,qui fondie sur lui sans poser de question....une veritable course poursuite s'engagea,les anti-corps huralient "intrus intrus!!",et ça en rameutait de plus en plus...il reussi à les semer dans les alentours des poumons...caché dans une bronche...il se fit tout petit et ne retourna à son camps de base que lorsque ces céatures agréssives se furent eloignées...Arrivé à son camps...il vit la porte du labo ouverte..étrange..rien n'avait été volé ni dérangé...ce ne pouvait etre les anti-corps...leur agressivité naturelle les aurait fait tout devaster...qui ou qu'etait-ce??...Bref,il y reflechira plus tard...pour l'heure il devait s'armer contre ces violante créatures qui le traquaient depuis maintenant des semaines qu'il s'etait installé... Et il reparti donc...retournant vaillament vers le foie...en prenant soin toutefois de bien fermé la porte cette fois ci... Arrivé au foie,l'armée des anti-corps s'etait agrandie...ils semblaient l'attendre,mais cette fois il etait armé,il envoya une roquette paralysante au beau milieu du groupe...ce fut radical...tous furent figé sur place,il se rendit dans le foie et y fis ses analyses,ses mesures et ses etudes aussi vite qu'il le pouvait,car le gaz paralysant ne durait pas trés longtemps;quel dommage de ne pouvoir tuer ces anti-corps;mais c'etait un ordre:"N'interferez pas avec le systeme en place!!!"...pff il aurait bien aimé les y voir ces patrons arrogants et peu soucieux de son bien etre à lui!!Mais il reussi cette expedition,et plus facilement qu'il ne le pensait meme... De retour au camp...le labo avait encore été forcé...Mais qui etait-ce ?? Pourquoi ?? Et rien ne semblait disparaitre...etrange... .............................................................. |
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Art Haché | Alors alors...
notre troisième et dernier qualifié pour l'avant dernière épreuves est super tomate. J'espere que les autres ne se sentiront pas lésé. vous recevrez tous un prix de consolation (ne consommez pas tout en une fois ) La troisième épreuve, consistera, dans un premier temps, à faire vivre un peu plus votre personnage dans votre lieu, qu'on sente qu'il s'y installe et s'y sent bien. dans un deuxième temps, vous devrez faire intervenir des intrus qui viendront foutre la merde dans les habitudes qu'à pris le personnage dans sa nouvelle demeure. Le problème ne devra pas être résolu dans le texte de cette semaine ( mais vous vous en doutez, dans l'epreuve suivante.) bon courage à vous trois date de rendu, samedi 5 juillet 2008 à 23h59 |
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georgeabidbol | La jeune femmes se tenait contre l‘arbre, un petit vent frai circulait entre ses rastas finement tressé, faisant onduler les bouclettes blonde qui pointaient au bouts des tresses fines, après de petits élastique de couleurs verte, jaune ou noir. Ses fins sourcils aussi doré que l’or, se fronçais de tant à autre sous le coup de l’impatience faisant plisser la peau de son front un peu trop grand. De grand yeux d’un vert foncé, surplombant un jolie nez qui se levait légèrement en son bout, fixaient avec attention l’ouvrage qu’effectuaient ses mains un peu potelés. Ses lèvres pleines se plissaient légèrement sur la droite, sous le coup de sa concentration. Quelques déchets de la création de ses mains tombaient sur un débardeur blanc qui laissaient apparaitre des formes généreuse. Un baggie de couleur kaki se finissant par de simples sandales de cuire terminait l’ensemble de la charmante jeune fille assise en tailleur. Ses doigts habiles progressaient rapidement sur la feuille de Blunt, empêchant tantôt, de petites verdures blanches de s’échapper de la feuille tantôt d’égaliser le mélange pour un parfait équilibre. Ses doigts se portèrent à ses lèvres et une petite langue pointu vint lécher presque sensuellement la feuilles parfumé. Le jobe se mit à tourner entre ses doigts, finalisant le roulage de la jeune filles. En cherchant une petite boite d’allumette, elle se mit à siffloter « Diamonds ». La jeune fille ne faisait que siffler, muette de naissance, l’air passant dans sa bouche était son premier instrument de communication. La demoiselle que les habitants de son village surnommais gentiment Pipo avait ce que les médecins appelait un « très léger » retard mental. Elle en était consciente, elle était différente. Tout les objets qu’elle voyait, tout les animaux, elle les percevaient différemment des autres. Pour elle chaque objet avait de l’importance, chaque son ou soufflement d’air signifiait quelque choses. Elle était plus lente, mais chaque chose qu’elle entreprenait, même si le temps était considérablement plus long, était réussis. Elle n’avais pas d’amis, pas d’amant, pas de parents. Elle était seul, mais heureuse. Elle vivait sur une petite colline à quelques centaine de mètres de là, dans une petites cabane parfaitement réalisé. Elle cultivait avec amour, différente plantes dont elle créait des dizaines de produits, dont celui qu’elle fumait.
Cela Faisait maintenant une bonne heure qu’elle était au pieds de l’arbre. Un grand chêne au milieu d’une prairie immense, Pipo se plaisait prés de son arbre, elle sentais dans ses vieilles branche, une chaleur étrange mais agréable. Elle avaient entendu dire paraitrai il qu’il était le dernier de l’antique et mythique foret de Sherwood. Bois de légende… L’Après midi touchait à sa fin, le soleil s’étendais de tout son poids sur les vertes collines, faisant rougeoyer les cieux. Elle regarda cette vision de beauté, en fumant tranquillement, faisant parfois de petit rond de fumé. Au moment même où elle écrasa un carton un peu brulé, le soleil disparus. Quelques secondes plus tard, un tremblement assourdissant se fit sentir, Avec une bouche ouverte de stupeur, elle vis sortir trois forme rectangulaire du sol. Brusquement elle se tourna vers le carton écrasé dans la terre et le regarda surprise et à la fois ravi, cette récolte est phénoménale, pensa elle avec un soupire de contentement. Mais quand elle se retournas et vit trois porte, l’une en bois gris, l’autre marron, et la troisième noir, elle se rendis à l’évidence, sa beuh n’y était pour rien. Elle sursauta en voyant surgir un être hybride mi homme, mie chèvre, de la porte en bois. Il s’arrêta dehors, et tendis ses bras un trop velu au dessus de sa tête, et s’étira longuement. Après plusieurs sons un peu gutturaux, il tourna brusquement sa tête vers pipo. Il souris cruellement et s’approcha d’un pas lent mais détendus vers pipo en disant bien fort: - « Tient donc! On aurais donc un cœur pure cette année? Cela fait bien longtemps qu’il n’y en avait pas eu… Bien sur beaucoup de se gens sont venus, mais peu était digne. Donc le gardien à considéré que tu était pure… » il était maintenant tout proche du visage de pipo, celle-ci haussa les épaules… L’être hybride la regarda perplexe, réfléchis un peu puis souffla d’énervement: - « Putain! Cette saloperie de gardien de bois ma encore envoyé une muette! Je hais les muette, on ne sais jamais se qu’elles pensent… » il murmura ensuite dans son bouc: - « En plus, comment savoir si elle me trouve beau… » Puis il eu l’air de se reprendre, se tapa le front, et se dirigea vers pipo d’un air sérieux, il pris dans ses mains un petit parchemin, et lus d‘une voix grave qui aurait put être effrayante: - « Vous avez fait apparaitre les portes de la foret des Satyres, le Gardien de bois vous à donc désigné comme ayant un cœur pure… » Voyant que la jeune femme en face de lui haussais les sourcils d’incompréhension, il interrompit sa lecture et dit en montrant le vieux chêne du doigts: - « Le gros machin vert… » La jeune fille le remercia d’un signe qu’il ignora, il repris; -« Bon… j’en était où moi… Ha oui! Bref… choisissez votre porte. Deux mènent en enfer… et l’autre dans la foret des Satyres. » Il replia son parchemin et la regarda interrogateurs, lentement, elle leva son doigts vers la porte du centre, celle en bois, il dit: - « Très bien, c’est la bonne porte! Oui je sais, le test est super facile, mais j’aime pas les con, et parfois les con se plantent… enfin… vient avec moi, sa pu ici…. » Il partis sans se retourner vers la porte, l’ouvrit et demanda à pipo de se dépêcher. celle-ci, curieuse et partiellement défoncé le suivit dans un sifflement de joie. Quand elle passa la porte, tout disparus… Elle se réveilla sans savoir combien de temps elle avait dormis au milieux d’une immense foret. Elle se redressa et s’aperçu qu’elle était au bout d’un petit sentier de terre. En se levant avec un regard respectueux pour les immenses chênes plusieurs fois centenaires. Elle se mit en route d’un pas nonchalant, sortis une deuxième feuille de Blunt et un petit sachet plein d’herbe Arpentant lentement le chemin d’un mélodieux air de calme, elle se mit à rouler un job… George Abidbol. ps: Le fait que les portes ne soient pas identique à la description du conteur de veillé est voulu. Tout le monde sais que les histoires venant d'un passé lointain sont constamment embelli par les conteurs. |
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IGor | Désolé pour le retard, j'espère que ça te plaira:
Ce jeune garçon se fond dans la masse. Il est insignifiant. En le croisant dans la rue, personne ne s'attarderait à le dévisager, ou bien même à s'y intéresser. Ça lui manque d'ailleurs. Parfois, il aimerait qu'on le remarque, qu'on s'occupe de lui. Mais même « les grands » de son lycée qui ont pour habitude d'embêter les autres, ne s'intéressent pas à lui. Ils ont bien essayé une fois; au détour d'un couloir ils l'ont bousculé, insulté. Lui, il a relevé la tête, pour essayer de voir à travers la mèche de cheveux qui a pour habitude de lui tomber devant les yeux. Une fois qu'il eut vu que l'on voulait le sortir de ses pensées, il soupira, et reprit sa marche, tel un être invisible. A vue d'œil il a sûrement 15 ans, peut être plus, peut être moins. Personne ne sait ce qu'il aime ou ce qu'il n'aime pas, pour cela il faudrait déjà qu'il leur parle. A la récréation il est toujours tout seul: pas de portable, pas d'ipod, même pas un livre, et encore moins des amis. Si quelqu'un prenait le temps de l'écouter, il s'apercevrait qu'il est plus qu'intéressant, que son esprit va à 100 à l'heure... Mais pour ça il faudrait déjà qu'on le remarque. La sonnerie retentit, il se lève, sort, c'est la fin des cours. Et puis il marche, ne sachant vraiment où aller, il traine dans l'établissement, en touriste. Il visite des coins qu'il n'aurait jamais soupçonné, se perd dans les méandres des couloirs, bientôt il ne sera plus d'où il vient. Après tout c'est peut être ce qu'il cherche, se perdre. Au moins, cette fois-ci, on l'aurait vraiment oublié... Il marche, encore et encore. D'ailleurs, il n'aurait jamais pensé son lycée aussi grand. Après avoir marché durant de longs couloirs, le voilà à une intersection: gauche ou droite? Il décide d'aller à droite, par instinct, mais bizarrement, ses pas lui font emprunter l'opposé du chemin décidé! Etrange... surtout que cela mène à un cul sac. Au bout de ce couloir il n'y a qu'une porte, on ne la voit pas très bien dans la pénombre mais elle semble très vieille, encore plus ancienne que le bâtiment. Etait-elle là avant? Le bois dans lequel elle était taillé, sa poignée de cuivre usée... Cette porte semblait avoir des centaines d'années. Et elle semblait surtout fasciner notre héros. |
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