je voudrais préciser qu'on vous demande pas d'écrire un poème une histoire toute bete

et il s'avère que tout le monde ne sait pas ce qu'est une morale alors je donne un exemple connu

bla bla bla...

moralité ne te couches jamais avec le cul qui gratte ou tu te reveilleras avec le doigt qui pue

pour faire plus soft et pour citer La Fontaine "rien ne sert de courir il faut partir a point"

Un homme vivent avec sa femme

n'arrêter pas de faire pipi à côté

la femme répondi tout le temps " tu va t'en prendre une !!! "

mais l'homme n'avait pas peur il disait " tu frappe comme une mouche et pi tellement que tu boi t'arrive pas a i voir claire ! "

donc le lendemain matin en se réveilant

il faisa pipi a côté, alors sa femme prenna un fusils a pompe

et elle lui tira dessus comme une folle, et aprés quelque minute de

réfléction, la femme dit a son mari qui est mort: est c'est qui la mouche maintenant ?


morale : toujours se méfier de quelqun qui fait pipi a côté

Comment faut il punir une épouse jalouse :

un homme marié avec une femme très jalouse et cependant très bonne. On conseilla à cet homme, au moment où sa femme
commencerait à crier à cause de sa jalousie, de prendre un objet, de se pencher
à la fenêtre et de faire du bruit. Ainsi, elle aurait honte et ne le ferait plus.
Cet exemple nous montre que l´homme a préféré punir sa femme en lui faisant
honte que de lui faire du mal.

Le cheval et le mulet(1ere version)


Un beau matin de juin
Un fermier se rendait au marché

Il voulait faire fortune en vendant ses prunes
Il possédait un cheval majestueux et un mulet boiteux

Pour préserver sa mouture du fardeau
Le pauvre mulet s'en retrouvais plein le dos

Le cheval se moquait du pauvre mulet
Celui ci se rendait pas compte de la chance d'avoir autant d'élégance

Plus le chemin passait plus le mulet s'épuisait
Le bourricot demanda un peu de repos
Mais le fermier refusais car il perdrai moult monnaie

Les jambes du mulet le portait plus le pauvre vieux en mourus
Le cheval était satisfait, le mulet était trop laid

Le cheval compris sa mesa fortune
Quand son dos se retrouvait plein de prunes
Il regrettait le pauvre mulet et se disait
"j'aurais du le ménager ainsi il aurait pu m'aider!"

La moral de l'histoire : Qui veux aller loin ménage sa monture


Voila un petit truque en rimes svp ^^

Deux hommes tout deux différents
L'un mangeant comme cent

L'autre mangeant comme une pie
Le calme se voyait fini

Le premier étant assez bouffi
Le deuxième étant tout amaigri

C'était le début de la crise
Plus rien à manger quoi que l'on dise

Le premier survécu grâce à la graisse
L'autre mourru avec une douleur présente sans cesse


Mange autant que tu le peux avant que ce ne soit la vie qui te mange

bon app et merci a mon auteur préféré j'ai nommé Super Tomate celebre poete du 21eme siecle

L'amour et l'argent.

un époux aimant mais plutôt grippe-sous,
ce dit qu'il pourrait faire d'une pierre deux coup.
le soir venu avec sa chérie,
ils se mirent tout deux au lit.
après lui avoir fait l'amour comme un fou,
derrière son lit il jetas trois sous.
il se dit; voila comment économiser,
sans trop se fatiguer.
les semaine passant,
l'argent aller en s'accumulant.
au bout de toute une année,
il se dit qu'il était temps de récolter.
mais il fut bien surpris,
en regardent derrière son lit.
car parmis les pièces de monnaies,
se trouvait de gros billets.
avant de faire un drame,
il interroge sa femme.
elle lui dit alors d'un air taquin,
"crois tu qu'ils soit tous aussi radin?"



Moralité:
avec ta femme ne soit pas radin,
ou elle ira voir le voisin!

Il y a un an mon père (que j'adore plus que tout) nous a fait une belle frayeur. En effet, peu à peu il s'est mis à avoir des hallucinations (surtout nocturne) et des pertes de mémoire (lui qui est une encyclopédie vivante !!), avait perdu toute sa joie de vivre. Il ne reconnaissait plus ma mère, ni l'endroit où il était. Cela nous a fait un énorme choc. Bien sûr nous sommes allés voir un neurologue et le verdict est tombé "Alzheimer" et "Parkinson"!!!! Il lui a prescrit des médicaments, des séances de kiné pour la mobilité et d'orthophonie. Peu à peu, avec les symptômes le médecin s'est orienté vers une variante d'alzheimer "Accord de Levy" (la même chose mais avec un traitement mieux ciblé). Je me suis renseignée un peu sur la maladie, j'ai assisté à une réunion d'une association de soutien pour les malades et leurs familles. Cela a duré un an et plus le temps passé et....mieux mon père se portait !! Lui qui était devenu passif a retrouvé sa joie de vivre, il recommence à parler, a retrouvé toute sa verve et son humour. Sa mémoire est intacte. Bref il est redevenu lui-même même s'il a toujours du parkinson (ce n'est que le début). On ne sait pas pourquoi il a eu cette "crise". Je pense que cela vient du fait qu'il a cumulé plusieurs problèmes de santé et que le fait déclencheur vient du choix qu'il a du faire de piquer notre chien (auquel il était énormément attaché). Maintenant j'ai retrouvé mon petit papounet d'avant et j'en suis heureuse. Mais je comprend mieux aujourd'hui les conséquences de cette terrible maladie. A toutes celles et ceux qui doivent la subir je vous envoie tout mon soutien et vous souhaite bon courage et continuez à aimer celui qui est malade car cela l'aide beaucoup même si cela ne se voit pas.
Amitié.

Moralité/ restée simple ne baisse jamais les bras .


ps: j'ai mis 1h30 pour la faire .Et moi je suis heureuse histoire vraix .

Chôôt@z ce sont des histoires écrites par vous mêmes qu'on demande je la connaissais deja la tienne

"Ma petite amie et moi sortions ensemble depuis plus de deux ans, et avions décidé de nous marier. Ma petite amie était un rêve. Il y avait seulement une chose qui me tracassait beaucoup : sa plus jeune soeur.


Ma future belle soeur avait vingt ans, portant mini-jupes serrées et chemisiers tombants. Elle se penchait régulièrement vers le bas quand elle était près de moi, j'avais ainsi une vue plaisante de ses sous-vêtements.

Cela était évidemment délibéré. Elle ne l'a jamais fait avec d'autres avant moi.
Un jour, elle m'a appelé et m'a demandé de venir pour vérifier les invitations de mariage.

Elle était seule quand je suis arrivé. Elle m'a chuchoté que bientôt je devais être marié, qu'elle avait des sentiments et du désir pour moi, qu'elle ne pouvait et ne voulait pas surmonter.

Elle m'a avoué qu'elle voulait me faire l'amour juste une fois avant que je sois marié avec sa sour. J'étais totalement choqué et ne pouvais dire un mot.
Elle a dit :« Je vais en haut dans ma chambre, et si tu veux passer à l'acte tu peux monter et me prendre." »
J'étais assommé, gelé. Je l'ai observée monter les escaliers. Quand elle a atteint le palier, elle a baissé sa culotte et me l'a jetée en bas des escaliers.
Je me suis tenu là pendant un moment, puis j'ai pris la direction de la porte d'entrée. Je l'ai ouverte et j'ai marché directement vers ma voiture.
Mon futur beau-père se tenait dehors. Avec des larmes aux yeux, il m'a étreint et a dit :
« Nous sommes très heureux que vous ayez passé notre petit test avec succès. Nous ne pouvions pas penser à un meilleur homme pour notre fille. Bienvenue dans la famille. »

Moralité : toujours garder ses préservatifs dans sa voiture....... "

Un soir d'hiver et de pleine lune
Un homme dans le froid allongé sur les dunes

Un autre homme le croise et lui donne le peu qu'il a, de la dentelle
Une femme le croise et lui offre de quoi se payer l'hotel

Le lendemain on revoit cet homme sur les bancs de la ville
Il fait toujours aussi froid et on sent qu'il devient fragile

Le même homme passe et lui offre à manger
La même femme passe et lui offre le restaurant pour déguster des mets

Le 3éme jour cet homme est retrouvé dans une ruelle,
Il est mort de façon cruel.

Le même homme passe et pleure devant ce defunt
Alors que la même femme passe et continue son chemin

Cette autre homme était tout simplement un autre sans abri
Alors que cette femme n'était rien d'autre qu'une VIP



La richesse matérielle n'est rien face à la richesse morale

Bon....à moi


Tout ceci se passa lors d'une soirée un peu trop arrosée...l'utilisation d'autres substance illicites m'avait mis dans une euphorie indescriptible...la soirée touchant à sa fin...on nous demanda de partir...tant bien que mal,je me dirigeais vers la porte d'entrée et tenta de descendre les escaliers le plus silencieusement possible...c'est à dire en faisant le maximum de bruit qu'un corps totalement incontrolable puisse faire.Aprés avoir reveillé les voisins,je reussi à trouver une sortie,trés salutaire car j'avais un grand besoin d'air frai.
Arrivé sur le trottoir la fraicheur et l'humidité de la nuit me reveilla un peu plus...je fut un peu plus capable de me deplacer...enfin...je titubais un peu moins déjà,dans l'etat dans lequel j'etais,ce fut une enorme evolution pour moi.

Je tentais donc de rejoindre ma demeure,enfin me coucher,enfin...se
reposer...j'entendais mon lit m'appeler au loin,ces deux kilometres à
faire à pieds avaient l'air infinis...vraiment,un pas me coutait d'enormes efforts et je m'aider des murs pour me deplacer.....
En marchant ainsi cahin-cahan en direction de mon chez moi bien aimé,je fut surpris par une lueur,une lueur indefinissable,ce genre de lumiere qu'on ne vois qu'au cinéma,ou qu'on lit dans les livres...une lueur presque divine...elle semblait me dire d'approcher,de ne pas avoir peur...je m'approchais donc de cette lueur..qu'elle surprise que d'y voir une femme d'une beautée eblouissante au beau milieu de cette lumiere...elle me souriait...son regard semblait me desirer,elle me demandait de tout son coeur d'approcher d'elle et de la toucher...
J'avançais ma main vers cette femme idyllique quand soudain,elle
disparue dans une spirale de couleurs psychédéliques d'où en sorti un
naim...oui....un naim...il se jetta sur moi et me rua de coup de toute ses forces...je ne pus rien faire pour me defendre...j'essayais de fuir mais ce naim avait une force surhumaine,il me retenait par le
caleçon..et me traina vers la spirale qui commençait à emmettre un
bruit enormement strident...qui me perçait les oreilles et m'empechait de reflechir...le naim decida d'en finir avec moi et,d'un coup de latte magistral dans le popotin,m'envoya valdinguer joyeusement dans la spirale bruyante...Quel droles de sensations que de se faire balloter dans ce genre de phenomene surnaturel s'il en est ...

Je ne sais pas comment se passa ma sortie de ce truc etrange et
gueulard...j'etais engourdi...endormi...j'ouvris les yeux et je vis une drole scene...des minis pygmés,encore plus petits que le naim
tabasseur,se tenaient devant moi et me menaçaient de leurs lances de
pierres,ils avaient vraiment l'air hostiles...mais alors...vraiment.
Je commençais serieusement à m'inquieter lorsqu'un pygmé plus grand
que les autres et affublé d'un masque etrange en carapace de tortue les ecarta...le respect que les autres lui temoignaient et la prestence de ce tout petit bout d'homme me firent supposer que c'etait peut etre le chef de cette tribus de minis pygmés....je n'eut pas le temps de reflechir plus que ça ...le naim,revenu subitement,m'envoya un enorme coup d'un truc tres dur sur l'arriere de la tete...(je soupsçonne ce naim d'etre
quelqu'un de violent quand meme...comment peut on s'attaquer à une
pauvre personne totalement dechirée qui essait de rentrer chez elle ?
)...je m'evanouis donc subitement...une seconde fois...

Une odeur de bouillon chatouilla mes narines,une douce odeur de
cuisine exotique,je me sentais bien...au chaud...bien au chaud...trop
chaud meme...ça me reveilla...et quelle surprise!!!Le bouillon...j'etais dedans!!!Une enorme panique s'empara de moi je me mis à hurler de toutes mes forces..;mais qu'est ce que c'est que ces minis pygmés si sauvages ?? Quelle idée de manger des gens!!!Moi en plus!!!
Inadmissible un truc pareil!!!
Le chef au masque en carapace de tortue ramena sa fraise en
entendant mes cris,mes vociferations,mes menaces à peines voilées de
me facher serieusement. Il se planta devant moi et me dit que c'etait
quand meme inadapté et insolent que le plat du jour se mette à parler
comme ça...qui plus est pour dire des inepties...
Mais où etais-je tombé ?? Quelle horreur!!!

Aprés s'etre assurer que je ne parlerais plus en me mettant une enorme pomme dans la bouche...il se mit à me parler de tout ses problemes de "grand" chef de sa tribu pygmés...il se libera et commença à parler de
politique et de sport ...toute une discution à laquelle je ne
comprennais rien...je ne voulais qu'une seule chose moi...rentrer chez moi ...Le "grand" chef etait parti dans ses paroles inepuisables..il avait besoin de parler,ou alors il etait tres bavard...ça n'en finissait pas...ça devenait encore plus insupportable que l'eau qui commençait à
bouillir,et dans laquelle j'etais en train de cuire au bain-marie...

Lorsque tout à coup un enorme pied surgis de nul part se posa pile au milieu du village des pygmés...en plein milieu..le "grand" chef fut ecrasé par le petit orteil...le naim etait coincé entre deux enormes doigts de pieds...les pygmés affolés...courraient dans tout les sens...ils criaient,gesticulaient,s'enfuyaient à toutes jambes dans toutes les directions,quand un second pied vint subitement lui aussi s'abattre sur le village,celui ci tomba tout prét de la marmite qui souhaitait acceuillir mes derniers moments,le choc de l'impact sur le sol produisit un enorme onde de choc qui la fit basculer...me liberant ainsi de cette chaleur devenu suffoquante...
Je me retrouvais hors de la marmite mais...toujours attaché,comment
echapper à ce nouvel agresseur qui est arrivé si subitement ? Comment
fuir face à l'enormité de ces pieds ?
Je me mis à ramper ...peu m'importais la direction...je devais fuir...fuir avant que...non trop tard...une enorme ombre plana d'un seul coup sur moi..je fis une volte face et vis cet enorme plante de pied pleine de corne qui allait s'abattre sur ma delicieuse personne....une vision d'horreur qui me fit hurler de toutes mes force ...je fermait les yeux pour ne pas avoir à voir la mort en face...en forme de pied....

Je hurlais,hurlais je m'epoumonnais et je me sentis secoué dans tout
les sens...une voix..une voix benie,une voix amie,me suppliait d'ouvrir
les yeux,de me reveiller....de me quoi ?
J'ouvris les yeux...un eboueur etait en train de me secouer l'air
inquiet,j'etais revenu dans le monde réél ? La femme...elle etait de
nouveau là...elle me sourait encore...j'avançais la main vers elle une seconde fois,mais elle disparue...encore envolée...pour se faire
remplacer par un ecran d'ordinateur avec unité centrale,clavier et
souris...en promo..........la femme,la déése que je voulais
atteindre...etait une publicité...

Je restais ebahi...en racontant mon histoire à l'eboueur,je voyais bien qu'il ne me croyait pas...que mon histoire n'etait pas possible...pas envisageable et qu'il devait me prendre pour un enorme taré pour prendre une publicité comme une belle déèse qui m'aurait été destinée...
Je decidais de me taire..de ne raconter ceci à persone et de mourrir
avec ce secret qu'un monde parrallele nous veut du mal et nous prend
pour de la nourriture...
Ou peut etre..........la honte d'etre ridicule devant mes
contemporains....


La morale de cette histoire c'est que lorsqu'on en arrive à tomber
amoureux d'une publicité,c'est qu'il est temps d'arreter de se droguer!

jojoweed76 meme remarque qu'a chootaz...

C'est l'histoire d'un petit garcon qui avait mauvais caractère, son pere lui donne un sac de clou
et lui dit qu'a chaque fois qu'il perdrait patience, il devrait planter un clou derriere la
clotuer.Le premier jour, le jeune garcon planta 34 clous derriere la clotuer, les semaines qui
suivire,a mesure qu'il apprenait a controler son humer, il plantait de moin en moins de clous
derrierela cloture.. il decouvrit qu'il etais plus facile de controler son humeur que d'aller
planter des clous derriere la cloture. Le jour vint ou il controla son humeur toute la journee,
apres en avoir informe son pere, ce dernier lui suggera de retirer un clou a chaque jour ou il
controlerait son humeur. Les jours passerent et le jeune homme put finalement annoncer a son pere
qu'il ne restais plus aucun clou a retirer de la cloture. Son pere le prit par la main et l'amene
a la cloture, il lui dit : ''Tu a travailler fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la
cloture, elle ne seras plus jamais la meme, a chaque fois que tu perd patience, cela laisse des
cicatrices exactement comme celle-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer,
peu importe combien de fois tu lui diras etre desoler, la cicatrice demeurera pour toujours.Unw
offense verbale est aussi nefaste qu'un offence physique, les amis sont des joyaux precieux. Ils
nous font rire et nous encouragent a reussir, Il nous pretent une oreille attentive,nous louange
et sont toujours prets a nous ouvrir le coeur.''



et voila..

Quatre petites chattes désside de traverser une petite
riviere pour aller sur un champ de cricri.
La premiére prend de l ellan saute etatteint
la rive sans probleme,st pierre l appel et
lui dit pourras fumer ce que tu veus.
La seconde cour saute et se mouille le bout
de la queue st pierre l appel et lui dit
tu serras banie trois jours du champ
La troisieme tente sa chance et se mouille
les pattes arriere st pierre la banie
duran une semaine.
La quatieme cour saute et ton dans l eau
st pierre la banie un mois

moralité

plus la chatte et mouillé
plus les saints son dur

up
hitee514, hervou ca a un air de déja vu si je me trompe pas

avant qu'il disparaisse de la 1ere page
On aimerait d'autres concurrents

oui ça manque de concurrence, pourtant les prix sont pour le moins attirants!

j'espère que le concours ne sera pas annulé faut de participations!?

voici une petite histoire amoral pas trop marante mais sa fais réfléchir :


Il était une fois... un garçon qui naquit malade. D'une maladie qui n'avait pas de cure. Il avait 17 ans et pouvait mourir à n'importe quel moment. Il vivait toujours chez sa mère sous l'attention de cette dernière. C'était dur et il décida de partir seulement pour une fois .Il demanda la permission à sa mère qui la lui donna.

En marchant dans son quartier, il vit beaucoup de boutiques. En passant devant un magasin de musique et en regardant la vitrine, il nota la présence d'une fille très tendre de son âge. Ce fut le coup de foudre. Il ouvrit la porte et entra en ne regardant qu'elle. En s'approchant peu à peu, il arriva au comptoir où elle se trouvait. Elle le regarda et lui demanda en souriant : "Je peux t'aider?". Il pensa que c'était le sourire le plus beau qu'il avait vu de toute sa vie. Il sentit le désir de l'embrasser en ce même instant. Il lui dit en bégayant : "Oui, heeeuuu,... J'aimerais acheter un CD". Sans réfléchir, il prit le premier qu'il vit et lui donna l'argent. "Tu veux que je te l'emballe ?" demanda la fille en souriant de nouveau. Il répondit que oui, en bougeant la tête, et elle alla dans l'arrière-boutique pour revenir avec le paquet emballé et le lui remettre. Il le prit et sortit du magasin. Il s'en alla à sa maison, et depuis ce jour, il alla au magasin tous les jours pour acheter un CD. Elle les lui emballait toujours, pour qu'ensuite il les emporte à sa maison et les range dans son armoire.

Il était trop timide pour l'inviter à sortir, et, même s'il essayait, il n'y arrivait pas. Sa mère fut mise au courant de cela et tenta de l'encourager à s'aventurer, de sorte que le jour suivant, il s'arma de courage et se dirigea au magasin. Comme tous les autres jours, il acheta une fois de plus un CD, et comme toujours, elle s'en alla derrière pour l'emballer. Elle prit donc le CD et pendant qu'elle l'emballait, il laissa rapidement son numéro de téléphone sur le comptoir et s'en alla en courant du magasin.

Le lendemain, Ringggg!!! Sa mère répondit : "Allô?", c'était la fille qui demandait pour son fils et la mère, inconsolable, commença à pleurer pendant qu'elle disait : "Quoi, tu ne sais pas ? Il est mort hier". Il y eut un silence prolongé, excepté les lamentations de la mère. Plus tard, la maman entra dans la chambre de son fils pour se rappeler de lui. Elle décida de commencer par regarder ses vêtements de sorte qu'elle ouvrit son armoire. Elle eut la surprise de se heurter à des montagnes de CD emballés. Aucun n'était ouvert. Le fait de voir autant de CD la rendit curieuse et elle ne résista pas : elle prit un CD et s'assit sur le lit pour l'ouvrir ; en faisant cela, un petit bout de papier tomba de la boîte plastique. La maman le rattrapa et le lut, il disait : "Salut!!! T'es super mignon, tu veux sortir avec moi ?". TQM... Sofia.
Avec beaucoup d'émotion, la mère ouvrit un autre CD, encore d'autres et dans plusieurs se trouvaient des bouts de papier qui disaient la même chose...

Morale : Ainsi est la vie, n'attend pas trop pour dire à quelqu'un de spécial ce que tu ressens. Dis-le aujourd'hui. Demain, ça peut être trop tard.

Alors c'est l'histoire d'un enfant qui penser ne rien craindre des petite bêtes comme les araignées.
Il se disait ne pas craindre ces petites chose qu’il pouvait écraser avec sont pied.
Alors dés qu’il en apercevait une elle finissait sous ses pieds.
Jusqu’au jour où une araignée le piqua dans sont sommeil, l’enfant dut finir sa nuit a l’hôpital.
Depuis se jour il n’écrasa plus une seule araignée.

La moral de cette histoire est que la petite bêtes ne mangera pas la grosse mais pourra lui faire bien du mal alors laisse la tranquille et ne profite pas de ta taille.

Désolé pour les fautes.

un jeune homme de paris
venai se ballader en campagne
il y vi un mec tous egrit
et s'ecrit: "eps toi avec ta guele de bagne"
je jeune homme de la campagne avec c'est vielle lunnette et son pull en lainne le regarda et lui dit "oui"
le jeune parisien le prenant pour une victime lui dit "vient la ke je t'enc***"
le campagnard apeurer rentra chez lui en courant
peu de temps apres le jeune campagnard vin a allez a paris
sur son chemin il recroisa le jeune parisien qui ete venu dans sa campagne peu de temps avant sauf que se jour si le jeune campagnar ete mal luner
le parisien l'insulta se qui ennarva notre povre petit campagnard qui enerver sorti le fusil de sous son blouson et tua le jeune parisien. fin.


moraliter toujour se mefier du loup qui dort