depuis le temps que je l'épiait dans cette atmosphère paisible mais étrange il semblais dormir je m'aprochat donc et sauta sur lui puit je le maîtrisas assez facilement puit une sensation étrange presque jouissif m envahi a cette instant précis j'enfonçais ma lame tranchante dans sa chaire chaude et humide et tranchât son foie je sortit ma lame la douleur semblait le faire sourire tout simplement pars qu'il avait conscience de la justesse de me démarche et d un coupe je lui replantai en plein c½ur je le mis sur le dos le recoiffas assez rapidement fermais ses paupière et reparti comme jetais arriver dans la sombre obscurité de la nuit comme la mort qui serais venez le happer a la vie .

VERSION DE ROM25 :


Tapis dans l'ombre, je m’approchai pas à pas,lentement, je le vis, allongé sur le ventre, les yeux clos, bercé par les ombres que le feu projette sur les murs de sa chambre, il ne perçus ma présence que trop tard.

D'un bond je sautai sur son dos, à califourchon, mes doigts experts appuyant sur les points de pression empêchant toute velléité si jamais il en avait eu l'idée.

J’étais satisfait et je souriais, puis, je sortis mon couteau de chasse de sa gaine et simultanément le froid acier pénétrait sa chaire, crissant sur ses côtes et fouaillant au plus profond de ses entrailles.

D'un mouvement du poignet je lui incisai le foie et retira mon poignard ensanglanté.
La douleur, je voulais qu'il souffre, le mal était pour lui risible mais il savait que c'était le dernier message que je lui transmettais et la honte qu'il en éprouvait le convaincu de la justesse de ma démarche.

La lame lui perfora le cœur, je le mis sur le dos, ajusta ses oreillers, le recoiffa sommairement et d'une main douce ferma ses paupières. Il sentit mes lèvres chaudes sur son front et je m'en allai.

Je la vit de mon oeil tentaculaire et de mes pensées obscènes. Je l'approche doucement en me mettant pas à pas à découvert, l'ouverture de sa paupière au moment ou elle me voit ne lui laissera même pas le temps d'envoyé le message au cerveau avant toute réaction, le terrain es mien, Les lympes s'ouvrent à moi , je suis un guériseur, les maîtres de l'univers vont enfin gouté la chère fraiche d'une pucelle pour reveillé leur Dieu Phalus DIEU DES PHALUS ET MAÎTRES DE CHUCK NORRIS !! Je sauta sur elle et lui appuie surles points de préssion empêchant toute velléité si jamais elle en avais eu l'idée.

Mon sourire Machiabélique lui fesais peur , je pris la photo de son fils et la mangea...Je voulait sentir sa peur, et son désir de vivre et pour la déconne je sorti mon couteau et lui planta bien profond dans le foie en fouillant ses entrailles et en prenant soin de tourner la lame dans tout les sens pour élargir au maximum la plaie. Je croit avoir ressenti cette peur ,cette douleur, cette humilité que je lui apportais, c'est comme si je lui donnais une nouvelle vie, une surdose de souffrance pour qu'elle sois indifférente à tous les types de blessures qu'on puisse lui faire, mais pas totalement, car le point le plus sensible, l'organe vital , presque même celui avec lequel on penses devais être touchés pour que son corps sois ensuite offert aux démons , aux maîtres de l'univers. Je me lève , la laissant patogée dans sa marre de souffrance et me balades dans la cuisine, en fouillant des les tiroirs, je trouve un cutter tout rouiller.. Je retourne près d'elle et lui plante cette enorme lame de cutter rouiller dans le coeur , je prend soin de coupé les artères pour le sortir de son corps et pour ensuite faire l'amour à la vie, lui dire que je l'emmerde que je l'encule et qu'elle n'as rien fait pour empecher sa ... je me mis as genou pour la faire basculé et lui caressé le visage. La chaleur de la mort se sentait à plein nez , je m'approche d'elle , pose mes lèvres chaud son front et je partie, pour profité avant que le coeur ne commence à se décomposé !

Le moment fatidique arriva enfin , après tout se temps passé a observer ma proie ,je me dirigeais vers la fenêtre de sa chambre quand je me rendis compte que le feu qui s'intensifier derrière moi projetait mon ombre sur le mur de la chambre ,plus de temps a perdre il faut agir vite et dans les règles de l'art pour ne pas que les cris de douleur de ma future victime n'alertent les voisins . C'est parti , en quelques secondes je le plaque au sol , l'enjambe afin de mieux le neutraliser , l'adrénaline commence a me rendre fou ,je sais que je vais lui prendre la vie et pour tout dire , sa m'excite.
le sourire aux lèvres je sort mon couteau et lui porte une premier coup dans l'estomac en tournant le couteau dans la plaie , je veut le voir souffrir ! il sait pourquoi je fais tout sa il ne me supplie même pas et me fixe du regard malgré la douleur .
s'en ai assez il faut en finir ,je retire mon couteau et lui porte un deuxième coup en plein coeur ,il respirai en encore mais plus pour longtemps , il va se vidait de son sang dans une douleur atroce .
Avant de partir je le remis sur le dos ,le recoiffa et ferma ses paupières , j'aime le travail bien fait !.
je repartis vers la pénombre en laissant derrière moi son cadavre inerte ,sa y'est c'était enfin fini .

(juste au cas ou mon pseudo dans le jeu est gregovitch )

**** Message supprimé à la demande de l'auteur ****

Cela faisait déja bien une heure que je l'épiais.Il semblait endormi par cette athmosphère si paisible. Les teintes flamboyantes sortant de l'âtre, me laissait percevoir son corps inerte étendu sur le lit. Il était allongé la tête blottie contre son oreiller, et son corps, formait une croix; peut-être était-ce une position dans laquelle il se sentait à son aise, en tout cas, cela allait être celle de son éternel repos.
Ses inspirations devenaient plus longues, et bien que je me trouvait à quelques mètres du lit, derrière un ficus qui ne laissait rien transparaître, je les entendait clairement. D'un pas de côté, je sorti de l'ombre et m'approchait de lui félinement. Sa chemise de soie reflétait toutes les nuances orangées que le feu lui envoyait. Arrivé à son chevet, je fis un saut et atterris comme un cavalier sur son cheval; j'étais en position de force.
Il eut un sursaut, et je sentis aussitôt son corps se contracter sous le mien. Qu'est-ce que c'est excitant de voir à la vitesse à laquelle ses poils se sont dressés dans sa nuque, et sur ses avant-bras, que je tenait serrés au niveau des poignés, prêt à lui briser s'il eut un geste de rebellion.
Il ne cherchait ni à se débâtre ni à négocier le prix de sa misérable vie de riche.
Du haut de ma monture, une immense satisfaction m'envahit et dessina sur mon visage, un sourire; un sourire d'enfant impossible d'effacer.
Je touchais au but... Je sorti mon cran d'arrêt et d'un coup déterminé, lui planta dans le dos. Sentant la résistance de ses côtes sur ma lame, je dû m'y reprendre à deux fois.
Dans son thorax, mon poignard détruisait tout ne laissant que de la charpie d'abats, mais laissant son c½ur intacte.
Il semblait vouloir dissimuler sa douleur mais le sifflement que ses poumons émettaient à chaque inspiration, était pour moi, preuve de souffrance.
Celle-ci, élargissait encore mon sourire béant. Je l'attrapa par les cheveux pour admirer cette expression si particulière; les traits que le visage prend quand on commence à apercevoir la lumière au bout du couloir.
Mes yeux posés sur son visage, il saisit mon regard en vol, et esquissa un sourire.
La confrontation de nos regards libéra en lui toute cette souffrance qu'il cherchait, jusque là, à déguiser en indifférence.
En quelques secondes, son visage se ternit et ses yeux furent pour moi des miroirs, tellement ils étaient gorgés de larmes.
Son envie de vivre avait repris le dessus sur sa fierté; il me suppliait de le laisser sauf.
Cette situation me semblait comique; un tel changement de comportement en si peu de temps ne pouvait être qu'un instinct primaire, animal; l'instinct de survie.
C'est alors que je fus pris d'un étrange fou-rire, et poussé par je ne sait quelle folie, j'extirpa définitivement son âme de son corps en lui perforant le c½ur, d'un coup net et précis.
Sorti de mon état second; état d'excitation extrême dans lequel on peine à maîtriser ses actes, je vis son cadavre sans dessus dessous.
Comme pour l'accompagner dans son ascension, je basculai son corps sur le dos, mis ses bras en forme de croix, et lui fit son ultime toilette.
Je rabaissai ses paupières, lui déposa un baiser sur le front.
Je parti d'un pas léger, regardant une dernière fois sa dépouille refletter les dernières couleurs du feu, mourant lui aussi.
La chambre s'assombrit, l'atmosphère devint glaciale...

up

le jeu est ouvert jusqu'au 30 a tous ceux possédant moins que la maisonnette ou pour le fun a tout ceux qui ont plus mais qui s'ennuient

"En arrivant près de la maison de la "cible" j'aperçus tout de suite du coin de la rue, la chevelure rousse de El Luckoss planqué dans les buissons ... j'approche sans bruit et engage la conversation.

"-Tu as perdu quelque chose Fiston??
-Oh!! Mr Room vous m'avez fais peur, vous êtes aussi sur l'affaire??
-Comment ne pourrais je ne pas être dessus ... Vu le nombre de zéros qu'il y a sur sa tête ... pauvre petite
-Ouais c'est moche!! Mais on est pas les seuls sur le coup kanaplu et sa bande de gros bras sont planqués dans son jardin !! y'me font peur ceux la "

Sans dire mot je prends congé de El Luckoss, en prenant la direction de la maison à grand pas. C'est en passant à la hauteur de la maison voisine que je remarque le molosse qui aboi à tue tête, il a surement repéré bart-man un des gros bras de kanaplu, lui est son vieux déguisement moisi se renifle à des kilomètres mais il insiste pour le mettre à chaque mission çà lui donne du courage parait-il c'est ce qu'il se dit dans le milieu.
C'est là que me viens l'idée de lâcher le molosse dans le jardin, kanaplu et sa bande sont fais comme des rats !!! Même le légendaire pampidou05 n'y pourrait rien il a trop peur des chiens !!!

Les rivales écartés j'approche du perron de la maison ... J'y pénètre sans bruit ... je me dirige de la porte de la chambre, mon coeur fait des bons dans ma poitrine, même après dix ans de métiers toujours la même adrénaline qui monte lorsqu'une fin de contrat approche surtout que c'est mon dernier. J'entrouvre la porte et là, j'aperçois la jeune femme allongée sur le ventre dans son lit, elle est si belle endormie comme çà à la lueur du feu qui crépite encore dans la cheminée mais je vais devoir mettre fin à cette belle scène ...
Je lui saute dessus, à califourchon sur son dos je la maitrise sans effort, elle est si frêle cette petite j'ai cru la briser en lui saisissant la nuque pour immobiliser sa tête dans ses cousins pour étouffer ses cris ...
Pour mon dernier contrat j'avais pris avec moi, mon fidèle cran d'arrêt, le même qui avait retiré les yeux de ce jeune avocat véreux lors de mon premier contrat.
Mon premier coup de lame, latéral et efficace, j'entendis même le bruit charismatique des cotes contre le métal froid de ma lame, petite rotation interne de la lame pour des dégâts inopérables mais pas mortel. Le coup suivant je l'ai dirigé droit au le coeur !! Son corps ne bouge plus mais elle vit encore ... je la retourne délicatement la tête sur les coussins ses yeux à demi ouvert reflétaient la douleur intense qui la traversée. D'un geste de la main je ferme ses yeux, je ne pouvais plus supporter ce regard qui m'avais glacé le sang. L'embrasse sur le front et quitte la chambre ..........

DINNNNNNNNNNNNNNGGGGGGGGG

"-Le cours est fini les enfants...
-Mais Mr Room vous avez fait quoi après??? demanda le petit El Rocco
-Fiston çà c'est une autre histoire ... Mais, j'ai rejoins ton père toujours planqué dans son buisson et on a été se bourrer la gueule ... j'crois même que c'est ce soir là qu'il à rencontré ta mère ... N'oubliez surtout pas les enfant, Ecarter les rivales, Coup latéral et efficace et surtout la rotation interne ... je vous interrogerais la semaine prochaine "

Les enfants quittèrent la classe en riant, me laissant seul assit sur ma chaise, le sang toujours glacé .... en pensant : "C'est moche de mourir à 15ans "

à tous pour ces textes certains sont vraiment chouettes
continuez de venir poster
et merci de vos participations

up
J'aurais bien jouer pour le fun mai j'ai pas de clavier comme vous ca va étre trop long

up puisque y'en a certains qui ont du mal a trouver le sujet apparemment

Quel sujet??

ah bah il a été déplacé

up plus que 3 jours

J'attendais tapis dans l'ombre le moment propice, qui lui serait fatal. J'étais prêt a lui bondir dessus et quand je serais sortit de mon coin je n'aurais qu'un court instant pour le maintenir sur le lit et faire ce que j'avais à faire. Mon sang ne fit qu'un tour, en un éclair je bondis sortit de l'ombre et lui sauta dessus je me trouvais a califourchon sur son dos et je décida alors, de lui enfoncer mon poignard, je ballader mon couteau don son corps en essayant de le faire souffrir, il le savait. Il souffrait en silence il savait que la fin était proche. Quelques minutes plus tard a près avoir remuer le couteau dans la plaie je sorti mon poignard ensanglanté de son corps désastreux et d'un coup net et précis, je fis eclaboussait de son sang impur. Il étais mort et je partit d'un pas satisfait

NastyGirl, Mr Cake,

Collé au mur du couloir de la chambre tel un lésard, le regard vide tel un requin, les intincelles ravivèrent le feu qui était en moi, je m'avançais délicatement sur la moquette tel une abeille se posant sur une pétale afin de butiner.
D'un bond de guépard je plaquais ma proie sur son matelas tel un serpent cherchant à broyait sa nourritue future empêchant toutes respiration.
Après un tel plaisir je me mis à l'inciser tel les griffes d'un tigre allant chercher l'organe le plus imposant de son corps, il souffrait encore le temps que je lui extirpe son coeur, je laissa alors la licorne sur ses oreillers que j'ai recentrée tel 1 tulipe au milieu de 2 roses et je lui fit don du baiser de la mort afin de reprendre ma chasse.

Le sauvage

    Citation de Mr Cake :

PS: ne poster que des réponses au jeu et pas de commentaires s'il vous plait

luludu07 donc merci de pas poster inutilement comme roomsee te la deja dit dans d'autre sujet..... si tu veut rajouter ou modifier ton message tu a la fonction "editer" merci

et moi j'ai supprimé tes posts lulu afin de garder le sujet propre c'était écrit pourtant (pas la peine de répondre )

encore deux jours allez montrez nous de quoi vous etes capables

last day vous avez jusqu'a demain soir minuit

Tapis dans l'obscurité j'attendais patiemment d'entendre sa respiration régulière synonyme de sommeil ou d'intense réflexion, alors ce serait le moment.
Pour l'instant je songe à tout ce qui nous a mené ici et croyez moi ce n'est pas matière qui manque. La fumée qui s'échappe du brûloir à côté de son lit disperse mes pensées et m'apaise. Je n'ai jamais partagé son goût pour les drogues mais en cet instant précis j'apprécie la sérénité que celle-ci m'apporte.
Un profond soupir m'annonce que je dois me mettre à l'oeuvre, j'avance dos au mur le regard fixé sur son visage tourné vers les flammes. J'admire une dernière fois la droiture de ses traits, le front large, le nez assez fort et le menton anguleux sont les vestiges de ses ascendances royales mais ses pommettes, le pli de sa bouche et bien entendu ses yeux sont d'une origine que je n'avais jamais rencontré au cours de mes périples. Un mystère de plus qu'il emporterait.
D'un bond je suis sur lui, ma main gauche courre le long de son cou et pince la jugulaire, il est à ma merci et ne tente pas de s'y soustraire. L'idée de le blesser et de le laisser baigner dans son sang pendant quelques heures avant de mourir inexorablement s'ouvre à moi et j'en souris.
Il est calme et je sais qu'il entrevoit ma présence mais je maintiens sa tête de façon à rester hors de son champ de vision.
D'un mouvement fluide je dégaine moi poignard et lui perce le foie, trop de rancoeur.. Il comprenait.
Je ne tenais pas à le faire souffrir plus que nécessaire, le message avait été compris, je lui plantais le poignard une seconde et dernière fois, en plein coeur.
Je réajustais ses coussins et l'installait confortablement, puis j'arrangeais ses cheveux épars et fermais ses paupières.
Un baisé et l'obscurité.



Plus que pas longtemps...

tu veux gagner ton propre jeu toi

plus que quelques heures a vos claviers