Cette grotte,bruyante et suintante,n'a rien pour rassurer le plus vaillant des humains qui vivrait sur cette planète...les parois,rouges et dégoulinantes se déplacent au gré de la marée du liquide vert qui se trouve au sol...Ce liquide,d'une odeur putride est en constant mouvement,créant ainsi des bulles,de ces bulles s'échappent des gaz,accompagnés par de la fumée jaunâtre,qui se mélangent à l'air ambiant,celui ci n'avait pas besoin de ça pour être vicié...

Dans ce liquide vert...se déplacent des créatures étranges...certaines plus poilues que les autres et de couleur pourpre...semblent se nourrir de ce qui jonche la surface...des amas de matières indéfinissables...elles se régalent de ce qui pourrait dégouter le plus exécrable des charognard...se jetant sur tout ce qui bougent à la surface et même sur ce qui ne bouge pas d'ailleur...Nous pourrions les appeler "Morphalus".

De temps en temps...la grotte est approvisionner de ces amas de matière,et de liquide semblant être de l'eau par moment,ou d'alcool à d'autres.Comme si une entité céleste leur faisait une offrande.Les "Morphalus" se jettent dessus sans aucune hésitation,et dévorent tout ce qui tombe de ce trou béant,sombre et inaccessible qui se trouve au plafond de cette grotte inquiétante.Un passant qui aurait du courage pour passer par là,se dirait qu'elles n'ont aucun intérêt de manger autant ces bestioles,car à peine après avoir avalé ces blocs de matières aussi différents les uns que les autres...elles régurgitent le tout quasiment instantanément par ce qui semble être un rectum..et ce qu'il en sort est très surprenant...c'est du liquide vert..exactement le même que celui qui couvre le sol de cette grotte sans nom.
Ce sont donc ces créatures qui créent ce liquide?.....Assurément!

D'autres bestioles,se trouvant au fond de la grotte,ont elles,les pattes au secs,quasiment aussi hideuses que les précédentes,plus massives et d'une couleur noirâtre,que nous appellerons "Fisturus",poussent tout ce liquide vers une sorte de trou situé au tréfonds de la grotte,elle ne mangent rien,se contentant de pousser ce qui vient à leur portée,faisant un travail d'esclave,elle s'acharnent à pousser et pousser encore à l'aide de leur grosse tête plate munies de mandibules énormes...elles saisissent ce liquide qui est en fait assez visqueux et se déplace sans peine sous la force déployée par ces étranges ouvriers...
Elles abattent ainsi un travail énorme assurant du coup le niveau du liquide de la grotte sans quoi,avec la voracité et le débit de rejets des mangeuses de matières,la grotte serait quasiment remplie et l'on ne pourrait y circuler à l'aise bien évidement...

Ce ballet de créatures étranges semblent être bien réglé...quel en est le but?Pour les "Morphalus" on pourrait le comprendre aisément,mais pour les autres,c'est beaucoup moins évident;elles travaillent et travaillent sans relâche...on pourrait se demander ce qui les poussent à faire tout ceci,elles n'ont pas l'air d'avoir spécialement de conscience...Certaines meurent lors de leurs travaux titanesques...elles sont de suite avalées et digérées par les survivantes qui n'en demandaient pas tant pour avoir un tel banquet.

Au dessus de tout ce fracas assourdissant des bulles qui éclatent,des gaz qui sifflent,des parois qui en se mouvant font un bruit plus qu'inquiétant;se déplacent,avec d'énormes précautions,de toute petites bestioles rouges,nommons les "Ulcérus"...Se faisant les plus discrètes possibles elles parcourent les parois de la grottes,lorsque que l'une d'elle semble avoir trouvé un endroit sur,elle appelle ses congénères en faisant clignoter ses yeux jaunes fluos...aussitôt,celles ci accourent,et,avec une détermination impressionante se mettent à ronger les parois rouges de la grottes,faisant ainsi de tout petits trous,qui grossissent à vue d'oeil,car cette colonie compte apparement de nombreux membres...Seulement lorsque le trou devient trop gros...un énorme rugissement venant d'on ne sais où se fait entendre et dans la minute qui suis,une énorme quantité d'eau envahie la grotte,semant le trouble parmi les travailleuses du bas.

Dans cette eau subitement tombée,se trouvent d'autres créatures de couleur blanche,appelons les "Medicus",qui,à peine arrivées,se jettent directement sur les parois et partent à la recherche des parasites aux yeux fluos...Elles se jettent dessus comme si l'avenir de la grotte dépendait de l'extermination de ces petite créatures rouges.Une guerre sans merci s'engage,faisant de nombreuses victimes parmi les deux camps,il ne semble pas que les "Medicus" désirent avoir des prisonniers,en surnombre,elles font de prodigieux ravages parmi les "Ulcérus",les mort tombent à la pelle dans le liquide vert,déclanchant un surcroit d'activité chez les "Morphalus",qui se régalent de ce qui se passe...Les "Medicus" plus que déterminés à faire du bon travail traquent leurs ennemis jusque dans les moindres recoins de la grotte,l'issue de la bataille ne fait aucun doute.

Le calme revenu,certains "Medicus" patrouillent pour déceler et détruire la moindre "Ulcérus" survivante...d'autres,se laissent mourir et manger par les "Morphalus",qui ne se posent jamais de question sur ce qu'elle peuvent ingurgiter;les patrouilleurs ne décelant plus aucun ennemi font pareil;il est impressionant de voir ces créatures,qui,même victorieuses,se laissent mourir une fois leur mission accomplie.

Et le ballet reprends de plus belle,"Morphalus" et "Fisturus" travaillant encore et encore,elles ne furent pas dérangé par le surplus de travail demander...tout ceci est bien étrange et ce lieu et quand même très insolite...mais au fait quel est cet endroit?
C'est tout simplement l'intérieur d'un estomac!

Philis, merci pour ce long et... instructifs roman biologique.
Je te remercie d'être le premier courageux à te lancer, et j'espere que ça motivera d'autres candidats.

J'aurai peut etre du préciser une limite de texte vu les exploits de certains dans les concours précédents...?
...non... mais sachez tout de même que la longueur du texte importe peu (comme d'autre choses me direz-vous... petits cochons...)

Des questions me sont arrivées, je vais donc préciser que cette épreuve se terminera dans une semaine à savoir le mercredi 11 juin à 23h59 (autant ne pas changer les règles du jeu^^)les inscriptions sont ouvertes jusqu'au dernier moment.

j'éditerai ici la liste des participants
à savoir pour commencer, un original, Super Tomate, banni du forum participera par mon intermédiaire, après tout pourquoi le privé de jouer..

Donc voici les candidats déclaré à cette heure:
Super Tomate
Tayer
Philisdragonus
Nastygirl
Zippys
IGor
ganja-man33
georgeabidbol

Une porte. Juste un porte... Faite dans un des bois les plus rugueux, sans réelles finitions. Une poignée de cuivre que le temps a usée. Quand on la regarde de plus près on dirait qu'elle t'invite, qu'elle t'incite à savoir ce qu'il y a derrière.
Au départ on s'attend à un pièce banale, rien d'extraordinaire. Mais une étrange impression de flottement y règne. Ses murs sont blancs, son plafond et son sol aussi. D'un blanc pur, sans aucune marque, comme si personne n'y était jamais entré, ou même ressorti . Tel une toile monochrome dans laquelle on aurait été projeté, le vide y fait sa loi. Mais ce vide est inhabituel, ou peut être trop parfait.
Pas de fenêtres, plus de porte une fois à l'intérieur, la blancheur immaculée envahie aussi bien ton regard que ton esprit. Tu cherches désespérément quelque chose, un détail insignifiant, qui pourrait rompre cet équilibre intangible, ce calme qui incite au chaos, à rompre ce «trop parfait».
Est-ce l'enfer? Le paradis?
Non. Cela ressemble plus au purgatoire, un endroit où rien n'a encore été décidé. Où tout, reste à concevoir. La genèse du monde réside en une pièce, blanche. Tel un cocon qui fait remonter l'instinct fœtal, une enveloppe charnelle qui isole du reste de l'univers, c'est ton esprit qui prend alors le dessus. Il façonne les murs, les agrémente des couleurs qui reflètent ta pensée, meuble la pièce de désirs les plus enfouis... Ce blanc est au plus profond de toi, c'est juste une feuille blanche, écris y ton histoire.


Désolé pour les fautes et bonne lecture

je suis candidat quoi que mon écriture laisse à désirer j"ai enfin trouver un façons amusante est qui me motive de réviser mon bac de français (vendredi )
Il va être difficile de faire mieux que philis mais comme on dit qui ne tente rien n'a rien!!

En arrivant dans ce coin de nature magnifique, du haut de cette colline la vue était époustouflante d'une part une forêt sombre et mistérieuse qui semblait s'étendre jusqu'à l'infini de l'autre une prairie qui allait jusqu'à une petite plage où les vagues venaient s'échouer. La brise marine ramenait les odeurs fraiche de l'océan turquoise, qui semblait si paisible mais à la fois si dangereux. Sur cette colline il y avait une petite maison bâtit tout en brique et le toit en paille. La prairie comptait des centaines d'espèces de végétaux et d'animaux. Le coin était si paisible, si calme, rien n'aurais pus prévoir ce qui allait ce passer.

voila ce que jvien de pondre! bonne lecture amis weelandiens

art haché j'esper qui il y auras de l'action dans les suite sinon jsuis dans la merde

Il y aura de l'action pas d'inquiétudes

Pour ce qui est de l'orthographe, l'effort minimum est de passer vos textes 5 minutes en copier/coller sur le correcteur de votre traitement de texte.
Mais ce ne sera pas pris en compte dans mon jugement (enfin... sauf si vraiment c'est catastrophique ^^)

Je suis très content pour l'instant, vos histoires sont originales et différentes entres-elles, je trouve ça enthousiasmant.

Je rappel que vous pouvez vous inscrire ou poster directement jusqu'au mercredi 11

Juste un ptit truc j'ai du changer de compte donc c'est plus ganja-man33 mais adedu33 voila

Ecoutez petits et grands! approchez vous! Venez donc entendre l’histoire de la foret des Satyres! Moi celui que l’on surnomme « le conteur de veillée » je vais vous raconter cette histoire…

Une vieille légende raconte que si le jours du solstice d’été vous vous retrouvez par hasard prés du dernier arbre de la foret de Sherwood, si votre cœur est pur, si il ne possède qu’amour, Alors les trois portes de la foret des Satyres apparaitrons… La première serais faite de bois ouvragé, magnifiquement travaillé avec une poigné d’or. La deuxième serais faite de métal, brillante comme un miroir mais ne renvoyant aucun reflet . Quant à la troisième, elle ne serais que ténèbres, un simple encadrement noir, aspirant toute lumière… Si vous voulez entrer dans la foret, il vous faudra choisir. Mais attention! Si l’une d’elle conduit à la foret, les deux autres vous ferons arpenter des chemins totalement différents! Certains disent que les deux autres mènent à la mort, d’autre, que l’une vous fait perdre la mémoire, et l’autre vous fait perdre la raison… Mais tout les conteurs s’entendent sur un point… Choisir la mauvaise porte ne présagerais rien de bon!
Si votre cœur est pur, si il ne possède qu’amour. Si vous êtes prés du dernier arbre de la foret de Sherwood le jour du solstice d’été, et si vous passez la bonne porte alors vous trouverez ce lieu merveilleux… Laissez moi vous guider dans cette foret, laissez moi être le catalyseur de votre imagination…
Commencez par passer la porte, une fois de l’autre cotés, celle-ci disparaitrais… Il ne vous resterez alors qu’une seule et unique alternative… Suivre le sentier… Le seul sentier de la foret. Un simple chemin de terre et de gravier, qui serpenterai d’après la légende jusqu’au cœur…
Arpentez ce sentier avec moi mes amis, fermez les yeux, je les remplacerais…
Imaginez des arbres tel, qu’aucune construction humaine ne pourrais les dépasser… Imaginez leurs troncs, larges comme un puits, s’élevant majestueusement vers le ciel, jusqu’à vous couper de la lumière, vous laissant dans une obscurité presque total… Vous ne pouvez que suivre le sentier, ne voyant pas à plus de quelques mètres… Que se soit à votre droite ou sur votre gauche, des arbres immenses, fruits des divagation d’un dieu depuis longtemps oublié… Suivez ce sentier… Pendant votre périple, vous allez devoir affronter vos peur, faire preuve de courage, d’intelligence…
Si votre cœur est pur, si il ne possède qu’amour. Si vous êtes prés du dernier arbre de la foret de Sherwood le jour du solstice d’été, si vous passez la bonne porte et i vous arrivez à passer le sentier de la foret, alors peut être arriverez vous en son cœur… Certain disent qu’en ce lieu repose le Graal, d’autre que cette clairière et le carrefour des légendes… Mais moi, qui suis le conteur de veillée, je détient la vérité… Au cœur de cette foret, se trouve une clairière… Imaginez la, imaginez une herbes plus verte que toutes les autres, grasse et humide, imaginez les senteurs de fleurs inconnus se mélangeant à l’humidité, imaginez le chant d’oiseaux tellement unique, que l’entendre suffirais à faire couler les larmes de l’homme le plus endurci… Imaginez le clapotement mélodieux d’une sources pure, dont l’eau est tellement claire qu’on la croirais absente… Cette clairière, est l’endroits où se regroupent les satyres… Des être tout droit sortie de mythe, moitié animal, moitié humaine… On dit que ce sont les créatures les plus intelligentes de ce monde, et si vous restez assez longtemps en leurs compagnie, vous pourriez répondre à toute les questions qui vous tourmentes. On dit aussi, qu’une petite cabane faite de planche et de cordages se trouve dans un coin de la clairière, et que chaque humain qui soit parvenus jusqu’au cœur, fait volontairement le choix d’y vivre jusqu’à sa mort…
Quel choix faites vous mes amis, avez-vous trouvé la bonne porte? avez-vous suivit le sentier? Entendrais vous les oiseaux? Voyez vous les Satyres? Moi, le « conteur de veillé » , je suis celui qui vous y a emmenés…

Voila ma prose

Le bâtiment était superbe, style 18ème siècle, tout en pierres usées par le poids des années et des intempéries qui sévissaient très souvent dans ce coin reculé du pays. L’imposant arc qui faisait office d’entrée ne faisait qu’inciter les curieux à pénétrer dans la cour avec ses ornements dorés surmontés de magnifiques gargouilles perchés là et qui veillaient sur l’université tels de valeureux gardes du corps pour certains et d’inquiétants espions pour les moins téméraires ou les plus intelligents…

A peine passé l’arc, on pouvait apercevoir sur la droite une porte mal fermée et en très mauvais état, derrière se dessinait un chemin de montagne sinueux et pavés de pierres mal taillées entre lesquelles la mauvaise herbe avait pris ses aises. En pleine journée le chemin semblait plutôt avenant malgré le manque d’entretien et pour ceux qui savaient se repérer dans le bois où menait la petite allée, celle-ci pouvait conduire à un lac en plein cœur de la végétation et dont l’eau était étrangement toujours tiède. Le sentier était désert.

Si on faisait le choix de ne pas emprunter la petite allée on se dirigeait alors vers la majestueuse porte en chêne qui marquait l’entrée dans les locaux de la faculté, toujours ouverte en pleine journée, fermée la nuit mais les habitués nocturnes n’utilisaient pas la même entrée. Une fois a l’intérieur le gigantesque hall semblait s’étendre a perte du vue, un nombre incalculable de portes grandes, petites, vieillies ou neuves ainsi que des escaliers qui s’entre mêlaient, laissait la possibilité pour tous visiteurs de se perdre mais pour tous les étudiants érudits qui gravitaient là depuis plus de 6 mois le lieu n’avait plus aucun secrets, du moins c’est ce qu’ils pensaient.

Tout au fond une fontaine sculptée surplombait le hall, le bruit de l’eau qu’on aurait pu penser assourdissant ne résonnait pas dans tout le bâtiment et ne laissait entendre le son cristallin de l’eau qui s’écoule qu’à ceux qui s’approchaient à moins d’un mètre vu le brouhaha qui régnait ici en pleine journée. Les conversations animées des étudiants et le bruit de fond des cours dispensés au micro dans les différents amphis de la fac couvraient même le bruit des outils des ouvriers qui s’affairaient à rénover l’aile ouest. En contournant la fontaine pour l’examiner par l’arrière n’importe qui n’aurait rien remarqué de particulier et d’ailleurs ni étudiants ni professeurs passant devant chaque jour n’aurait eu l’idée de le faire. Mais tout le monde dans cette université n’était pas n’importe qui et à la nuit tombée sous les yeux plus ou moins immobiles des gargouilles, on pouvait voir se faufiler à l’intérieur du bâtiment par un passage mural dérobé des ombres inquiétantes qui se dirigeaient alors vers la fontaine. Apres une série de recherche, de leviers et de pressions habiles et précises effectués par les ombres cagoulées, l’arrière de la fontaine laissait apparaître un escalier de fortune dont les marches en bois menaçaient de s’effondrer à chaque pas. L’escalier débouchait sur un long corridor où la température était beaucoup moins agréable qu’à l’étage supérieur. Etant dénué d’éclairage, seules les lampes de poche des acolytes permettaient d’apercevoir sur les murs en pierres les nombreux portraits qui semblaient littéralement encrés dans les parois, et être là depuis bien avant la construction de la bâtisse. Le long couloir débouchait sur une pièce ronde éclairée par des torches ce qui permettait de distinguer l’allure des ombres, réunies au centre de la pièce contigüe.

Mais revenons à la lumière du jour… L’université n’était pas le seul bâtiment du campus, les dortoirs classiques se situaient à 100 mètres en contrebas de la colline sur laquelle l’université était perchée. Ils n’étaient pas délabrés comme on aurait pu s‘y attendre mais bien au contraire respiraient la classe et le confort du fait des grandes vérandas qui permettaient aux pensionnaires de profiter du soleil, installés dans des fauteuils en osier. Cependant l’établissement perdait de sa splendeur quand on pénétrait à l’intérieur : gobelet vides, moutons de poussières, musique assourdissante représentaient les vestiges de la vie étudiante bien mouvementée des week ends. D’immenses escaliers en bois massif menaient aux différents étages qui se ressemblaient tous à l’exception du dernier, beaucoup plus classieux avec ses peintures de maitres accrochées aux murs du couloir ainsi que ses tapisseries anciennes et des chambres beaucoup moins nombreuses car beaucoup plus vastes. Mais l’atmosphère étaient étrangement plus calme, on n’entendait pas le bruit habituel qui régnaient dans les étages inférieurs…

Voici le texte de Super Tomate...

Les façades des maisons tombaient en ruine , les églises des villages ne faisaient plus retentir la cloche le dimanche matin , le coq ne montait plus sur le toit de sa ferme pour réveiller son maître. Les champs étaient couverts de trous tel un morceau de gruyère que l'on vient de déballer , les fleurs n'ont plus de lumière du jour pour pouvoir éclore à la première lueur du matin à cause de la fumée qui ne cesse de voler dans les airs. C'est bien ce que vous pensez : c'est la guerre!! Là ou les débris tombent du ciel comme si la pluie leur tombait dessus , là où les obus viennent s'abattre sur le sol pour le faire trembler de nous. Là où les hommes sans vie gisent dans la boue , flottent à la surface de cette eau ensanglantée. Là où les femmes et les enfants sont enfermés dans les sous - sols là où les bruits des fusils et des canons ne deviennent que des simples sifflements. Dans la brûme d'un matin d'hiver, les hommes épuisés après tant d'années de batailles n'ont plus la force de porter leurs armes, ils n'ont même plus la force de se lever pour protéger leurs familles qui derrière sont terrorisées à l'idée que leurs êtres qui leur sont si chers ne puissent pas tenir ce rideau de fer. La puissance de l'ennemi est trop
grande pour pouvoir résister , ils n'ont pas de coeur , ils n'ont pas d'âmes , ils foncent au combat comme si rien ne les afféctaient.

Dans cette brûme, les ombres approchées telles une vague déferlante. Bientôt face à eux , les hommes après avoir vus tant d'horreurs se demandaient bien ce qui allait pouvoir arriver de nouveau , après avoir combattus les scorpions de Jupiter , les migales de Pluton , les sauterelles de Vénus.....L'univers s'est lié contre la Terre pour la réduire en cendre après que l'homme est voulu dans son envie de pouvoir absolu le contrôlé mais c'était sans compter sur l'envie que l'homme a de vivre....survivre

IGor je suis bluffé enorme ton texte franchement

et.... les résultat!!!!!!

IGor Super Tomate georgeabidbol adedu33 Nastygirl Philisdragonus

voici les noms des six uniques participants...

Aucuns textes n'a m'a déplu au point de ne pas vouloir de suite, d'autres m'ont vraiment bien plu... presque tous en faite... et je ne donnerai pas de nom, de toute façon, mon jugement est subjectif.

voilà pourquoi personne ne sera éliminé cette semaine.

Deuxième épreuve :

Dans ce second texte, pour corser un peu, vous aurez une contrainte; écrire deux paragraphes avec chacun une limite de longueur.


Dans le premier, décrivez votre personnage. Vous devrez parler non seulement de son physique mais aussi de sa personnalité, de ses habitudes et de ses goûts. Parlez uniquement du personnage, pas de lieu, pas de nom.
entre 15 et 25 lignes

Dans le second, vous devrez expliquer comment votre personnage arrive jusqu'au lieu que vous avez décrit lors de la première épreuve. Il s'agit également d'amorcer une interaction entre le lieu et le personnage.
Votre personnage peut habiter depuis toujours sur place ou débarquer par hasard, ou être là depuis peu, comme vous le sentez.
Entre 7 et 15 lignes

Vous comprendrez bien qu'un fois tout ces éléments mis en place, l'action commencera réellement lors de la troisième épreuve où nous pourrons vraiment découvrir vos talents de conteur. Voilà pourquoi trois seulement y participeront, les plus motivés, je vous réserverais
quelques mauvaises surprises. ^^
A la fin de cette épreuve, un classement sera fait en fonction de l'originalité, de la narration et du respect des contraintes.

fin de l'épreuve Jeudi 19 juin à 23h59

Faites-moi plaisir

j'ai bien hâte de voir la suite

En outre, vous recevrez tous un peu plus de 1000gr de beuh dans vos achats.

Bon courage, à vos plumes

EDIT :

pour cause de départ précipité, les résultats seront donné lundi dans la journée, bon week-end et bonne fête de la musique!!

Et voilààààà :

Sa silhouette était plutôt fine et élancée et malgré son statut d’intellectuel il cultivait avec beaucoup d’acharnement sa carrure athlétique dans les salles de sports du campus qu’il fréquentait le soir bien après les étudiants. Ses grands yeux gris perle donnaient la touche finale à un tableau qui avait fait maintes fois succomber les étudiantes et certains étudiants. Mais il était très attaché à ses principes et personne n’avait réussi à le détourner de l’objectif qu’il s’était fixé en arrivant là : faire de ces bourgeois des êtres capables de réfléchir et un jour capables de faire bouger les choses.
Il était considéré comme un des rares agrégés de la fac qui se montrait sous son vrai jour pendant qu’il dispensait son cours, il exerçait une véritable fascination sur les élèves. Dynamique, intéressant et passionné par son enseignement, il n’hésitait pas à donner ouvertement son point de vue, à tourner en dérision la société moderne, à critiquer la société de consommation et les privilèges dont bénéficiait la plupart des étudiants de cette université huppée bien que sa politique ne faisait pas l’unanimité parmi le conseil d’administration et parmi certains cercles d’étudiants aux idées un peu trop arrêtées. Il s’érigeait en défenseur des causes perdues si bien que la plupart des associations faisait appel à lui en dernier recours pour plaider leur cause devant le doyen.
Chaque matin il prenait son café à la cafétéria de la fac à l’instar de tous les autres professeurs qui se retrouvaient dans la salle des appariteurs ou carrément même en ville. Cette habitude lui jouait souvent des mauvais tours puisqu’il était souvent assailli par des hordes d’étudiants dés 8h du matin. Mais même s’il ne se l’avouait qu’à lui-même, ces petits rituels flattaient son égo de professeur apprécié parmi la communauté des étudiants, ce qui était un privilège dont peu pouvait se vanter.


Epuisé par sa séance de musculation assez corsée, il sortit des vestiaires avec une seule envie, celle de fermer les yeux et de plonger dans un sommeil réparateur. Arrivé devant le parking de la salle de sport, il fouilla un moment ses poches, son sac de sport mais sans succès, ses clés de voiture restaient introuvables. Il se souvint alors qu’il avait toujours les clés permettant d’accéder à l’amphi où il avait donné son dernier cours. Bien décidé à rentrer chez lui grâce à son coupé sport et non grâce à ses pieds, il décida d’entrer dans la fac pour aller vérifier l’amphi où il avait donné ses cours de la journée. Il introduisit la vieille clé en cuivre dans la porte en chêne massif qui pivota lourdement mais sans bruit sur ses gonds bien huilés. Il avança lentement le long du grand hall qui lui paraissait soudain interminable sans la cohue des étudiants.
Soudain il entendit un « plouf » sonore suivi de bruits de pas étouffés provenant du fond du corridor. Il pensa immédiatement à la fontaine et craignant la présence d’élèves un peu trop téméraires il avança lentement vers celle-ci. Arrivé à quelques pas il aperçu un objet brillant au fond de l’eau sur lequel la lune se reflétait à travers la baie vitrée. Il se pencha pour l’examiner un moment et glissa sur une flaque. Il se rattrapa in extremis en s’agrippant à la sculpture qui surplombait la fontaine. Abandonnant l’étude de l’objet il se remit debout en prenant appui sur une pierre. Soudain il entendit un grondement. Il marqua un temps d’arrêt en voyant la sculpture pivoter sur le coté droit pour laisser apparaître un sommaire escalier en bois. La curiosité l’emporta sur la méfiance et il entreprit de le descendre prudemment. Mais le manque de lumière en bas lorsqu’il déboucha dans un couleur froid et humide lui donna un mauvais pressentiment. Il fit encore quelques pas puis ce fut le trou noir…

pour l'idée et a tout ceux ayant participé

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Et cette bestiole qui regarde tout ça....cette bestiole,est surement la plus étrange,la seule à ne rien faire se contentant d'observer de ses gros yeux violacés le spectacle qui s'offrait à elle...une créature plus étrange que les autre...avec des allures d'homme...enfin,si l'on peut dire...son corps d'une couleur jaune poisseux illumine l'endroit où il se trouve,où qu'il soit,une étrange lueur le suit...semblant se déplacer en lévitation plus qu'en marchant de ses jambes courbées,nous pourrions nous demander ce à quoi elles peuvent bien lui servir...son corps maigrelet ne semble pas être incommodé de tout l'attirail qu'il porte comme un fardeau...résistant à toute les attaques possibles et imaginable;mais cet être étrange....est il doué de pensée ??
Nul ne saurait le dire,mais on pourrait le penser,au regard du matériel qu'il trimbale,il ne semble pas appartenir au marasme de ce lieu étrange....et son attitude suspecte,en ce lieu insolite,se contentant d'observer....regarder...analyser...mais dans quel but ???

Il semblerait qu'il soit en fait investit d'une mission,laquelle?
Si l'on revient en arrière dans son passé,on s'appèrçois alors que cet être a des supérieurs,assez sévères qui plus est.On ne lui a pas demandé son choix,c'est ça et puis c'est tout,sinon c'est le placard atomiseur qui l'attendait...il n'a donc pas spécialement réfléchi et a donc pénétré dans la capsule qui l'attendait...à ce moment là il regrettait d'avoir passé l'examen qui lui avait permis de monter en grade,car si ça lui donner le droit de passer avant tout le monde au réfectoire,ça lui donner aussi le devoir d'accomplir des missions de ce genre....
Et ce fut donc le début de sa mission...partir du quartier général en catimini,muni de tout les instruments de mesures possible,et infiltré un corps humain,c'est dire s'il en était enchanté.
Profitant d'un baillement de son cobaye,qui aurait du mettre la main devant la bouche,il s'y introduisis insidieusement pour enfin attérir dans l'estomac de celui-ci...ce fut le debut de cette mission périlleuse,et à ce moment là....il se demandait s'il arriverait à en sortir vivant.


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Bah alors, je rentre de week-end et je vois seulement deux participants...?


bon je vais mettre ça sur le compte des exams et du bac.... viendez, viendez les autres, venez poster, par contre y'en a deux qu'auront plein de weed pour leur engagement.

Dans le recoin le plus sombre se situait notre héros , il était vêtu du veston des commandos couleur kaki, il était peintuluré de couleur verte et noire pour passer inaperçu dans la boue où il pouvait resté cacher des heures. Il avait un couteau digne des plus films de rambo , un fusil comme dans stalingrad mais il avait le courage d'un agneau face au loup et la force d'un canard boiteux. Il pleurait chaque matin en priant une fois de plus pour pouvoir survivre en se cachant sous les cadaves des ces compatriotes abattus , il avait l'habitude d'avoir son bas trempé de l'intérieur à force de ne plus pouvoir se retenir sous ce sentiment que l'on appelle la peur...il préférait se nourir de vers de terre qu'il trouvait en creusant pour pouvoir trouver de l'eau que de retourner à son poste ou il pourrait avoir de la nourriture digne d'un soldat qui se bat pour sa nation.....C'est tout simplement le plus grand trouillard que l'on est connu depuis des décennies , sans courage , sans conviction , sans envie , son seul but était de survivre.....Je vous parle de lui mais on ne sait même pas à quoi il ressemble......il avait un corps semblable à celui de David Douillet , un esprit de vainqueur comme celui de l'équipe de France en final de la Coupe du Monde en 1998, je ne pouvais pas dire de la Coupe d'Europe en 2008 ça aurait été trop facile , mais il a montré son vrai visage dans la difficulté , qu'il n'avait fait que de la gonflette et qu'il avait un esprit de vainqueur qu'en jouant au baby foot contre son grand père. Il avait le regard toujours dirigé sur le sol, il cherchait si des billets et des pièces n'y trainaient pas. enfin c'était l'excuse qu'il donnait mais tout le monde savait que c'était parce qu'il avait peur de regarder les gens dans les yeux et de se faitre taper.Selon le proverbe , il faut être proche de ses amis mais encore plus proche de ses ennemis , c'est pourquoi dans ses chaussure , il avait toujours ses 2 portes bonheur caché sous ses semelles , une petite statuette de la faucheuse et de Jésus Christ.
Mais malgré ses défaut il pourrait peut être devenir cette être insigniant qui ferait la différence.


Sachant que la guerre avait éclatée , après avoir été appelé comme au bon vieux temps , il décide de déserter . Dans sa désertion , il décide de prendre des précautions et de se munir de tout l'atiraille que son père avait laissé de son service militaire.Après s'être vêtu de tout cela , il prit la direction le menant au Nord pensant que les forces extraterrestres arriveraient au Sud en Australie....Apres quelques jours de marche , il arriva à Moscou , il se dirigait vers Saint Pétesbourg quand il entendit des balles fusées à la vitesse d'Ariane II , des cris tels ceux monstre du Loch Ness.....Il n'avait plus d'autres choix que d'aller au front vu que les Scarabées de Scanabulitum débarquaient dans leurs vaisseaux montgolfières. Il courut se réfugier dans la première tranchée qu'il trouva , et oui c'est comme à la guerre 14-18 . De là , il rampa tel un vers de terre pour se faufiler entre les soldats qui tiraient sans cesse pour essaye d'abattre un de ces scarabées , dans le seul but d'aller se cacher dans la première caisse de munitions vides qu'il vut sur son chemin. Il en coula de cette caisse un liquide jaune.

Merci beaucoups pour l'attente et bonne lecture

vraiment désolé, mais gros problème en se moment, j'éssai de te faire ça demain, attend moi....


ps:je t'aime

vous êtes bon les gars... enfin les participants et participante.

mais peu sont ponctuels...

Bon comme je suis overbooké en ce moment je comprends, surtout que je suis encore moins là que vous.

Philis et Nastygirl sont dors et déjà qualifié, il reste une place à prendre, je reviens samedi pour me décider. et donner la troisième épreuves.

profitez

beau travaille a tous, C`est tres interessent.un peu long mais bon loll normal comme jaime pas trop lire encore bravo