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Jeu G&F : une villa ou 40 kilos de blue a gagner :) |
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CaptainKramiK Maître botaniste
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Posté le 28/03/2009 à 20:58:49 |
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Hors ligne Messages : 939
Depuis : 13/02/2009
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un jeune homme insulte sans cesse un de ses amis de nain de jardin, il s'amusait a rabaisser son ami qui lui en avais marre ...
un jour son amis lui dit :"rhoo ta g**** , t plus petit que moi du con!"
moralité, se regarder avant de faire chier son monde __________________________ Round round get around, I get around ! Yeeah !
Get around round round, I get around !
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netik Jardinier du dimanche
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Posté le 28/03/2009 à 21:21:57 |
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Hors ligne Messages : 8
Depuis : 24/03/2009
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C'est l'histoire d'une lapine qui es dans un champs depuis des années. Et au bout d'un certain temps l'homme a construit une ligne de voie ferrée au milieu du champs. La lapine s'approcha de la voie ferrée pour pouvoir traversé, elle regarde a gauche, personne, à droite, personne, elle traverse puis là hop un train passe et elle se fait coupé la queue. Elle retourne au bord de la voie ferrée pour récupéré sa queue, elle regarde à gauche, personne, à droite, personne, elle traverse puis là hop un train lui coupe la tete !!
Moralité: **************** --Message édité par Roomsee le 31/03/2009 à 00:59:30-- __________________________
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TheBigSumo Grand maître botaniste
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Posté le 29/03/2009 à 12:16:50 |
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Hors ligne Messages : 1 961
Depuis : 31/10/2008
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C'est l'histoire de 2 homme qui était pressé il devait tout les deux allé a un entretient d enboche au dernier étage d un immeuble de plus de 100 étages alors il arrive tout les deux devant le bouton de l'ascenseur et appui tout les deux et on vut sur le cadrent du haut que l'ascenseur été au dernier étage alors le premier type couru vers l'escalier et commença a monté les marche 4 par 4 pour arrivé le plus vite , tendis que l'autre attendis bien calmement l'ascenseur .
-15 minute après ils arrivent en même temps !!
Moralités :
Pourquoi faire compliqué quand l'on peut faire simple --Message édité par TheBigSumo le 29/03/2009 à 23:37:00-- __________________________ TheBigsumo |
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Ritek Ganja Gourou
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Posté le 29/03/2009 à 17:03:58 |
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Hors ligne Messages : 2 540
Depuis : 16/04/2007
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C'est l'histoire, l'histoire de atententen c'est quoi comme histoire ?!
Heu c'est l'histoire d'un de d'un farfadet ! Un farfadet qui heu... qui heu qui qui qui le farfadet il est heu il est heu... Oh attend là c'est le mieux, le farfadet il est perdu dans la Lande. Et c'est parce que c'est bourré de menhir. Alors le farfadet il est il est il est pas c**
Il entend une petite voix, ohoh une toute petite voix, c'est le farfadet qui est là bas au loin, il est perdu derrière un menhir... Alors le farfadet il est content il est content, puis il se met à crier:
-"Hé oh, hé oh, où est-tu, où est-tu ??!!!
Et puis comme tout les farfadet il se met à danser, et il danse bien le farfadet il danse bien, il danse... Wouhou je suis la, aaaaaarhhhhhhhhhh... __________________________ Weed & Cie
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Mr Cake Ganja Gourou
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Posté le 29/03/2009 à 17:25:03 |
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Hors ligne Messages : 3 496
Depuis : 14/03/2007
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Gangstalone.. ton histoire est un peu bizarre non? je comprend pas trop les morales à coup de fusil personellement
netik reste correct dans tes propos
spetekiller histoire sans queue ni tête et pas de morale, t'es sur d'avoir compris le jeu? --Message édité par Mr Cake le 29/03/2009 à 17:26:52-- __________________________ Greluche&Fainéantise |
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les2sonak69 Main verte
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Posté le 29/03/2009 à 20:52:17 |
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Hors ligne Messages : 111
Depuis : 21/01/2009
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Le lapin et le taureau
Dans un pré,
Un taureau broutait
Quand tout à coup
Un lapin sortit de son trou.
-Vous êtes bien petit,
Dit le taureau surpris,
Je parie que vous n’arriveriez même pas
A traîner la charrue que voilà !
-Non, mais je peux me faufiler,
Répliqua le lapin vexé.
-Vous ne pouvez faire que cela !
Se moqua le gros animal.
Moi je peux travailler pour le fermier,
Me battre contre le toréador qui est très fort
Soudain, ils entendirent des coups de tonnerre.
-Partons ! L’interrompit le petit mammifère.
Ils se mirent à courir,
Et quand le lapin vit un trou il s’y engouffra.
Malheureusement le taureau ne pus entrer dedans.
Il chercha une cachette, mais aucune n’était assez grande.
Alors un chasseur apparut et lui tira dessus.
La taille n’est pas une importance
Chacun tentera sa chance
Avec la taille qu’on a
On s’en sortira. __________________________
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Gaelancien Botaniste éclairé
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Posté le 29/03/2009 à 23:43:43 |
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Hors ligne Messages : 283
Depuis : 25/12/2008
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Un arbre vert
tout vert
Une souris grise
toute grise
L’arbre l’interpelle
Tu n’en as pas marre d’être toute grise ?
Et c’est ainsi
qu’ils échangèrent
Et l’arbre devint gris
tout gris
Et la souris verte
toute verte
qui courait dans l’herbe
je l’ai attrapée par la queue
et je l’ai montrée à ces messieurs
et ces messieurs
ne m’ont rien dit…
Morale : Que c’est con la vie
__________________________ Y'a de quoi faire transpirer les gorilles dans la brume
Faire crier les loups du haut des collines car ma weed c'est la pleine lune. |
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Weed-How Botaniste éclairé
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Posté le 30/03/2009 à 00:21:03 |
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Hors ligne Messages : 286
Depuis : 16/12/2008
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Les cheminées fumantes enveloppaient Kaboul d'une brume artificielle, et firent tousser Ric. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans comprendre, il fut face à la porte.
Sans attendre, il sonna. Quelques secondes s'écoulèrent. Les tempes de Ric battaient. Comme personne n'ouvrait, il sonna une nouvelle fois. Mais rien ne se passa. Il frappa, sonna, frappa, sonna encore et encore... puis il décida d'attendre.
Il attendit une heure. Puis deux. Au bout de trois heures, désespéré, il se leva, et après avoir sonné une dernière fois, tourna les talons et s'en alla. Mais à peine fut-il en route qu'un bruit de verrou attira son attention. Il fit volte-face, et aperçut Bernadette sur le pas de la porte.
- Je... excuse-moi, dit-elle. Je suis désolée, je... je...
- Tu es si horrible, la coupa Ric.
- Entre, ajouta Bernadette.
Ric la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Bernadette.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Bernadette vint s'asseoir près de lui.
- Alors, que racontes-tu?
- Euh... rien, rien de bien spécial.
Ric semblait ailleurs. Son amie s'en aperçut et lui demanda s'il allait bien.
- Oui, je vais bien! En fait...
- En fait?
- En fait, j'ai simplement envie de t'embrasser.
Bernadette eut un sursaut.
- Me... mais... moi?
- Oui.
Un silence s'ensuivit. Ric comprit qu'il était allé trop loin.
- Excuse-moi, Bernadette, je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça.
- Tu ne le sais pas?
- Euh... à vrai dire, euh... enfin, je voulais dire que...
- Est-ce que tu étais sérieux? Le coupa Bernadette.
Il hésita.
- Je suppose que non. J'ai sûrement dit ceci sans réfléchir. Je suis désolé.
- Ric...
- Je suis désolé, oublie-ça.
- Ric, embrasse-moi...
Cette fois-ci, ce fut lui qui sursauta. Après un moment, sans mot dire, il approcha ses lèvres de celles de Bernadette. Puis, dans le silence de cette maison tranquille, au milieu d'une journée comme les autres, ils s'embrassèrent pour la première fois.
Ils se regardèrent. Ric approcha sa bouche de l'oreille de Bernadette et chuchota:
- Je t'aime...
Bien sûr, il lui avait déjà dit qu'il l'aimait. Bien sûr, il lui avait dit des milliers de fois. Mais ce sentiment était toujours le même. Il voulut le lui dire.
- Depuis seulement 24 heures que je t'ai vue, tu es la seule personne que j'aie jamais aimée.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Bernadette.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus effrayante que je n'ai jamais connue! La plus effrayante de tout Kaboul! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si laid...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce fennec, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Ric, tu as beaucoup de qualités...
- Embrassons-nous encore... souffla Ric.
Ils s'embrassèrent donc. Au loin, on entendait ''Zimbabwe'' de Bob Marley. D'où cela venait-il? Quelle importance, du moment que c'était là. Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. Kaboul était loin. Ils virent passer un champignon, au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. On se serait cru dans un tableau de Picasso. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan, tels des pizzicatos que le vent sifflant emportait au loin avant de les renvoyer à la figure des amoureux. Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Bernadette, que la folie saisissait, se voyait chier au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immenses et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain.
- Je voudrais t'épouser, dit Ric.
Bernadette tressaillit.
- Pardon?
- Je t'aime. Je veux t'épouser. Veux-tu être ma femme, Bernadette?...
Leurs lèvres tremblaient.
- Oui! Murmura-t-elle.
Toute la nuit, ils restèrent enlacés, à parler, ou à s'embrasser.
- Je t'ai déjà parlé de weed26? Demanda Ric.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... merdique!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!
Ils s'embrassèrent pendant des heures. Des jours. Des années. Si d'aventure vous ne croyez plus à l'amour, sachez qu'en ce moment même ils s'embrassent quelque part.
--Message édité par Weed-How le 31/03/2009 à 00:06:21-- __________________________ La "Bibi's Foundation" |
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Scred Dieu Ganja
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Posté le 30/03/2009 à 00:26:05 |
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Hors ligne Messages : 10 139
Depuis : 04/03/2007
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les2sonak69 et Gaelancien, ca doit venir de votre cortex __________________________ Alliance Greluche&Fainéantise |
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Jerm1777 Grand maître botaniste
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Posté le 30/03/2009 à 00:27:13 |
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Hors ligne Messages : 1 907
Depuis : 13/01/2009
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Bonsoir, voici ma plus belle histoire rien que pour les weedlandiens.
Il était une fois l'histoire de jonhy la frite, marchand de pommes de terre en territoire inconnu au coeur de la belgique polynesienne. En manque de pate pour faire des pain de beuh, jonhy parti dans la forêt chasser le blé sauvage. Il faut beaucoup de courage pour capturer un tel animal. Car le blé sauvage court plus vite que les pingoins jamaïquains. Donc il ne faut pas oublier ses basket de compèt' à refroidissement liquide. Et c'est ainsi que jonhy fît son succès.
La moral de cette petite histoire est que ce ne pas parceque l'on a rien comprid que la vérité n'est pas là. La vie est remplie de cette folie, aimons la vie. --Message édité par Jerm1777 le 30/03/2009 à 00:31:12-- __________________________
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les2sonak69 Main verte
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Posté le 30/03/2009 à 16:34:21 |
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Hors ligne Messages : 111
Depuis : 21/01/2009
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Un gros boeuf dodu,
Voyant une minuscule grenouille,
Fut confus : lui était gros comme un ballon,
Il décide de ne plus manger de saucisson,
Et dit : "Petite grenouille, ne suis-je pas
Aussi léger que toi? Si oui, dit le moi.
- Saute sur le nénuphar et on verra
Si tu es aussi léger que moi"
Le gros dodu sauta dessus,
Mais sans qu'il ne l'ait voulu,
Coula et plus jamais on ne l'a revu.
Il ya beaucoup de gens qui font comme le boeuf,
Et veulent ressembler à un oeuf :
Mais on risque d'avoir des problèmes de santé,
Si on veut avoir la taille fine,
Mieux vaut faire un régime équilibré,
Plutot que d'arreter de manger. __________________________
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Scred Dieu Ganja
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Posté le 30/03/2009 à 16:48:15 |
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Hors ligne Messages : 10 139
Depuis : 04/03/2007
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les2sonak69, c'est une histoire que tu dois toi meme inventé un petit éffort d'inspiration pour 40 Kg ca vaut le coup
__________________________ Alliance Greluche&Fainéantise |
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Gaelancien Botaniste éclairé
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Posté le 31/03/2009 à 00:07:18 |
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Hors ligne Messages : 283
Depuis : 25/12/2008
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Cortex ? Pas compris Scred __________________________ Y'a de quoi faire transpirer les gorilles dans la brume
Faire crier les loups du haut des collines car ma weed c'est la pleine lune. |
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Scred Dieu Ganja
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Posté le 31/03/2009 à 00:13:39 |
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Hors ligne Messages : 10 139
Depuis : 04/03/2007
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de ton imagination __________________________ Alliance Greluche&Fainéantise |
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Joint Venture Maître botaniste
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Posté le 31/03/2009 à 18:25:19 |
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Hors ligne Messages : 995
Depuis : 02/02/2009
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Vous l'aurez compris, il s'agit là d'une "parodie" de la célèbre fable "La Cigale et la Fourmi" de Jean de La Fontaine.
N'allez pas chercher plus loin quant au personnage de "Bandinette", c'est un joueur que j'ai inventé quoique largement inspiré
Quant à Tantang, il s'agit bien de notre Grand Chef que je remercie au passage pour ce jeu extra.
La morale : JDF ne tire pas de morale de son récit bien qu'elle soit implicite au texte. Ma fable est différente de la sienne de par sa forme mais le fond reste le même.
On parle ici d'une allégorie du travail et de la paresse.
Ma morale à moi serait donc... fumez avec modération
Bonne chance à tous __________________________
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yannou41 Botaniste éclairé
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Posté le 01/04/2009 à 09:47:14 |
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Hors ligne Messages : 303
Depuis : 11/04/2008
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Maîtresee Sandy, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un Bédo .
Maître yann par l'odeur du bédo ,
Lui tint à peu près ce langage :
«Et bonjour Mademoiselle Sandy .
Que vous êtes joli! que vous me semblez Belle!
Sans mentir, si votre yeux
Se rapporte à votre coeur,
Vous êtes la belle est la plus touchante merveille queje voi»
A ces mots Sandy ne se sent pas de joie;
Et pour montrer sa belle voix,
Elle ouvre sa boucheet ses main laisse tomber sa boulet et son pétte.
Yann s'en saisit et dit: "MA belle demoiselle,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute:
Cette leçon vaut bien une boulette est un péte."
Sandy béha et trahie par tans de galenteri
Jura mais un peu tard , qu'on ne l'y prendrait plus. --Message édité par yannou41 le 01/04/2009 à 09:56:58-- __________________________ c'est moi ^^ |
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Mr Cake Ganja Gourou
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Posté le 02/04/2009 à 20:21:27 |
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Hors ligne Messages : 3 496
Depuis : 14/03/2007
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joint venture joli texte et présentation
Postez encore les gens
Résultat dimanche prochain ( sale bête ) --Message édité par Mr Cake le 03/04/2009 à 22:56:13-- __________________________ Greluche&Fainéantise |
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H2P Botaniste éclairé
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Posté le 03/04/2009 à 06:07:45 |
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Hors ligne Messages : 384
Depuis : 05/01/2009
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Il était une fois... un garçon qui naquit malade. D'une maladie qui n'avait pas de cure. Il avait 17 ans et pouvait mourir à n'importe quel moment. Il vivait toujours chez sa mère sous l'attention de cette dernière. C'était dur et il décida de partir seulement pour une fois .Il demanda la permission à sa mère qui la lui donna.
En marchant dans son quartier, il vit beaucoup de boutiques. En passant devant un magasin de musique et en regardant la vitrine, il nota la présence d'une fille très tendre de son âge. Ce fut le coup de foudre. Il ouvrit la porte et entra en ne regardant qu'elle. En s'approchant peu à peu, il arriva au comptoir où elle se trouvait. Elle le regarda et lui demanda en souriant : "Je peux t'aider?". Il pensa que c'était le sourire le plus beau qu'il avait vu de toute sa vie. Il sentit le désir de l'embrasser en ce même instant. Il lui dit en bégayant : "Oui, heeeuuu,... J'aimerais acheter un CD". Sans réfléchir, il prit le premier qu'il vit et lui donna l'argent. "Tu veux que je te l'emballe ?" demanda la fille en souriant de nouveau. Il répondit que oui, en bougeant la tête, et elle alla dans l'arrière-boutique pour revenir avec le paquet emballé et le lui remettre. Il le prit et sortit du magasin. Il s'en alla à sa maison, et depuis ce jour, il alla au magasin tous les jours pour acheter un CD. Elle les lui emballait toujours, pour qu'ensuite il les emporte à sa maison et les range dans son armoire.
Il était trop timide pour l'inviter à sortir, et, même s'il essayait, il n'y arrivait pas. Sa mère fut mise au courant de cela et tenta de l'encourager à s'aventurer, de sorte que le jour suivant, il s'arma de courage et se dirigea au magasin. Comme tous les autres jours, il acheta une fois de plus un CD, et comme toujours, elle s'en alla derrière pour l'emballer. Elle prit donc le CD et pendant qu'elle l'emballait, il laissa rapidement son numéro de téléphone sur le comptoir et s'en alla en courant du magasin.
Le lendemain, Ringggg!!! Sa mère répondit : "Allô?", c'était la fille qui demandait pour son fils et la mère, inconsolable, commença à pleurer pendant qu'elle disait : "Quoi, tu ne sais pas ? Il est mort hier". Il y eut un silence prolongé, excepté les lamentations de la mère. Plus tard, la maman entra dans la chambre de son fils pour se rappeler de lui. Elle décida de commencer par regarder ses vêtements de sorte qu'elle ouvrit son armoire. Elle eut la surprise de se heurter à des montagnes de CD emballés. Aucun n'était ouvert. Le fait de voir autant de CD la rendit curieuse et elle ne résista pas : elle prit un CD et s'assit sur le lit pour l'ouvrir ; en faisant cela, un petit bout de papier tomba de la boîte plastique. La maman le rattrapa et le lut, il disait : "Salut!!! T'es super mignon, tu veux sortir avec moi ?". TQM... Sofia.
Avec beaucoup d'émotion, la mère ouvrit un autre CD, encore d'autres et dans plusieurs se trouvaient des bouts de papier qui disaient la même chose...
Morale : Ainsi est la vie, n'attend pas trop pour dire à quelqu'un de spécial ce que tu ressens. Dis-le aujourd'hui. Demain, ça peut être trop tard. __________________________
Rien N'aRreTe Un PeuPle Qui DanSe |
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Mr Cake Ganja Gourou
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Posté le 03/04/2009 à 12:53:07 |
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Hors ligne Messages : 3 496
Depuis : 14/03/2007
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Citation de bng33100 : voici une petite histoire amoral pas trop marante mais sa fais réfléchir :
Il était une fois... un garçon qui naquit malade. D'une maladie qui n'avait pas de cure. Il avait 17 ans...
Avec beaucoup d'émotion, la mère ouvrit un autre CD, encore d'autres et dans plusieurs se trouvaient des bouts de papier qui disaient la même chose...
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MojoLeDafado & bng
vous êtes nuls.. __________________________ Greluche&Fainéantise |
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Little Nasty Dieu Ganja
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Posté le 03/04/2009 à 16:38:29 |
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Hors ligne Messages : 10 198
Depuis : 14/06/2007
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Citation de Mr Cake :
Résultat dimanche |
t'as craqué mon grand regardes la page de présentation c'est dimanche prochain __________________________ Admin Jeu Et Forum
Greluche&Fainéantise |